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 ROSENTHAL Camille

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Camille Rosenthal
Camille Rosenthal

Messages : 37
Inscrit depuis le : 07/08/2010
Age : 27
Localisation : Chez moi... Tu n'as qu'à me trouver tiens! Ce sera un jeu de cache-cache!^^

Feuille de personnage
Nom/prénom: Rosenthal Camille.
Arme: épée, maîtrise moyenne.
fonction: Riche, ne travaille pas.

ROSENTHAL Camille Empty
MessageSujet: ROSENTHAL Camille   ROSENTHAL Camille Icon_minitime1Sam 7 Aoû - 14:15

ROSENTHAL Camille 100807010251885173Camille RosenthalROSENTHAL Camille 100807010752241836








Nom: Rosenthal

Prénom: Camille

Âge: 13 ans

Description physique: Camille est un jeune garçon de treize ans, et n'est pas ce qu'on pourrait qualifier de désagréable à regarder. En effet, sans être d'une beauté battant des records, il n'est pas laid non plus, loin s'en faut. Il est en revanche particulièrement androgyne; pas de là à ce que, en posant votre regard sur lui, vous en arriviez à vous demander à quel genre conjuguer vos adjectif ou que vous optiez de suite pour le féminin, bien entendu. Mais assez pour que cela soit notable, et qu'avec une robe et les cheveux longs, il ressemble à une demoiselle. Premièrement, son jeune âge n'aide pas, ici, sans même parler de sa taille ou de sa carrure en général. Enfin, toujours est-il que si on le remarque dans la rue, ce sera sans nul doute plus à cause de manière qu'il se donne, d'allures, de paroles que de son apparence physique en général qui, elle, lui aurait au contraire permis de rester assez discret s'il l'avait désiré. Pas ce qu'il y a de plus commun au monde, certes, mais pas non plus remarquable.
S'il n'a certes pas encore fini de grandir, et heureusement d'ailleurs, on ne peut pas non plus dire qu'il soit particulièrement grand, voir même au final, relativement petit. Ayant récemment atteint le mètre cinquante-neuf, il se trouve mille fois trop petit. Sans doute, si au moins il passait la barre des soixante serait-il grandement rasséréné mais, là, présentement, cela ne lui plait pas du tout. Résultat, il met très souvent des chaussures avec quelques bon centimètres de talon, plus que certaines jeunes filles; ainsi, il arrive plus ou moins à se rehausser à une taille qu'il jugerait plus 'correcte' en attendant de grandir. Il sait qu'il ne fera sûrement pas un mètre quatre-vingt-dix plus tard, mais cela ne l'empêche pas d'espérer atteindre une hauteur convenable sans avoir à toujours se rehausser de la sorte. Qui plus est, s'il n'est somme toute pas très grand, il n'est également pas imposant le moins du monde. Là où certain affichent des muscles et de la force, lui montre une délicatesse et une fragilité sans pareils. Laisse l'impression qu'au moindre coup de vent, il va s'envoler, ou se briser en centaines de petits morceaux, pire qu'une poupée de porcelaine à laquelle on devrait faire extrêmement attention. Et si de temps à autre les apparences sont trompeuses, ce n'est ici pas vraiment le cas. En effet, avec trente-huit kilogrammes et quelques -il monte parfois à quarante, mais s'il passe sa vie à manger, il ne grossit que peu, alors c'est assez difficile-, son ossature fine, et son cruel manque de force, il ne pourrait pas dire que ce ne soit qu'une 'impression'. On ne le dirait pas maladif, mais tout de même. D'ailleurs, s'il ne tombe que très rarement malade, c'est autre chose au niveau des chutes? Pas qu'il soit spécialement maladroit, mais plutôt que, quasiment chaque fois qu'il fait une rencontre inopinée avec le sol, ou se cogne au coin de quelque meuble sur son passage, il va se faire mal. Là où certains n'auraient rien eu du tout, il s'en sortira avec un bleu de taille conséquente, là où d'autre se seraient juste fait assez mal, il se serait cassé la jambe. Ce n'est pas grave à tous les coups, évidemment, sans quoi il aurait toujours un bras dans le plâtre, mais il n'est pas rare de constater qu'il a une trace ici ou là. Ce léger détail le force à faire quelque peu attention, quoiqu'il ne s'en préoccupe pas véritablement beaucoup. Tant que cela ne lui fait pas trop mal, il s'en fiche. Par contre il évitera donc de se battre, les conséquences pouvant être vaguement plus graves que ce qui était à la base prévu. Enfin, comme il n'a pas vraiment de raisons de se retrouver dans des situations dangereuses dans lesquelles il aurait à combattre, tout va bien pour lui.
Son visage quant à lui, est plus rond qu'allongé, et le plus souvent éclairé d'un sourire. Ses yeux sont bleus, mais pas foncés, loin de là. Pas même vraiment comme le ciel. D'une nuance claire à l'extrême, cela peut parfois faire un effet étrange aux gens, mais cela n'en reste pas moins très joli. Grands, ronds, clair et innocents, ils s'accordent très bien avec le reste de son visage en général. Des lèvres fines, les pommettes hautes, la peau très claire, presque laiteuse, il n'est pas dénué de charme. Il possède des cheveux blonds et relativement courts. S'il les a eu longs durant un temps, il a jugé que cela porterait moins à confusion s'il avait une coupe un peu plus masculine. Souvent, quelques mèches de cheveux tombent devant ses yeux, mais il se contente, dans ces moments là, de les chasser d'un vague geste agacé de la main. Ils sont eux aussi de couleur très claire, d'un joli blond platine.
Enfin, ce qui fait qu'on le remarque, comme je l'ai déjà dit, c'est plus son attitude qu'autre chose. En effet, il est très provocateur, et aime qu'on le sache. Cela se ressent donc dans sa manière d'agir, mais aussi dans sa manière de s'habiller. Ses chaussures, en plus d'avoir toujours au moins un minimum de talons, sont le plus souvent des bottes. Il n'a rien contre les autres, simplement qu'il trouve cela non seulement plus élégant, mais aussi plus pratique. Très soucieux de son apparence, il ne mettra pas n'importe quoi n'importe quand avec n'importe quoi. Et les habits simples ne sont décidément pas son fort. Comme il a de l'argent pour se les payer, il peut s'acheter un peu tout ce qu'il veut dans ce domaine. Plus coquet qu'une fille, il peut mettre un certain temps à choisir quel vêtement le mérite le plus le matin. Il n'y passera pas la journée, certes, mais jamais, ô grand jamais, vous ne pourrez le voir avec une simple chemise blanche et un pantalon. D'ailleurs, s'il met certes des choses longues parfois, il avouera une très nette préférence pour les shorts courts, s'arrêtant bien au dessus du genoux. Une fois encore, plus pour provoquer qu'autre chose. Les jeunes filles mettent des jupes serrées et de grands décolletés pour les mêmes raison, après tout. Et personne ne leur dit jamais rien, ou presque. Der toute façon, cela lui allant bien, il ne cherchera pas vraiment à changer de style vestimentaire. A toutes ses tenues il y aura des couleurs, comme le violet ou le blanc, ou encore du vert; excepté tous les tons orangés sans distinction, en particulier le pêche, et le mauve, qu'il trouve proprement atroce, il aime toutes les couleurs et ne fera pas de différence. Enfin, s'il fait certes très attention à sa personne, je précise qu'il n'est absolument pas dans ses habitudes de s'habiller avec des robes. 'Pas dans ses habitudes' ne signifie pas qu'il ne puisse pas le faire. Seulement se travestir n'étant pas un hobby chez lui, il ne le fera que s'il y voit un quelque intérêt. Ou qu'il a décidé de se déguiser, et cela n'arrive pas si souvent.(donc Never, ce n'est pas un Morgan bis.XD).

Description mentale: Camille est un jeune garçon de treize ans dont le comportement peut parfois sembler quelque peu difficile à cerner. Ce n'est pas une mauvaise personne, pas plus qu'il n'est trop gentil ou quoi que ce soit du même genre. On ne peut dire des gens qu'ils sont noirs ou blancs, et il ne fait guère exception à la règle. A vrai dire, s'il est difficile de le comprendre, cela vient plus du fait qu'il ne s'explique jamais plutôt que d'actions étranges. En effet, première chose importante, il déteste fournir la moindre explication aux gens. Il n'aime pas cela et de fait, ne le fera généralement pas. S'il veut absolument que vous fassiez ceci ou cela, aussi bête ou insignifiant que cela puisse sembler, il est fort peu probable qu'il vous réponde si vous avez le malheur de demander pourquoi. Partant du principe que les autres, en plus de risquer de ne pas le comprendre, n'ont nul besoin de savoir, il ne verrait pas la moindre utilité à cela. S'il tient absolument à sortir en ville ce jour là, que sa mère sache ou non pourquoi ne changera rien au résultat; il aura le droit, ou non. S'il joue aux échecs et qu'il supplie presque d'avoir les noirs, pourquoi vous expliquer? C'est ainsi et c'est tout, le savoir ne changeant de son avis strictement rien à la fin. Pour autant on pourrait croire qu'il agit toujours pas pur caprice, alors que ce n'est pas du tout le cas. Certes, parfois oui, évidemment, mais pas non plus tout le temps. Ce n'est pas parce qu'il ne fournit pas de raisons, ou qu'il se cache derrière un magnifique 'parce que' si vous insistez trop, qu'il n'en a pas, il ne faut pas se méprendre. On est toujours mieux sans rien savoir du tout, se dit-il souvent. Aussi prend-il pour acquis que les autres pensent de la même manière. Ses proches ayant plus ou moins compris qu'il était plus qu'inutile de chercher le pourquoi du comment avec lui quand il ne voulait pas le donner, et n'étant pas dérangés par cette habitude, ils se contentent à présent de donner leur verdict, oui ou non, sans chercher à comprendre ou à aller plus loin. Lorsque quelqu'un insiste et ne se satisfait pas de réponses évasives ou d'habiles changements de sujet, alors tout dépendra: ou il mentira s'il ne veut vraiment rien dire, ou il jugera qu'il peut vous faire part de ses réflexions, au moins partiellement, et vous expliquera. Car mentir ne le dérange pas vraiment, faute de l'intéresser. Comme tout le monde ou presque, il peut en user pour se sortir d'épineuses situations, mais pas en permanence non plus. Ne cherchant pas à plaire à tout le monde et acceptant ses propres défauts, vaille que vaille, ce n'est pas un hypocrite. Toute vérité n'est pas bonne à dire? Soit, si lui juge le contraire et que les autres ne veulent pas l'entendre, ils n'ont qu'à pas l'écouter. S'il pense toutefois qu'il vaut mieux ne pas dire quelque chose à quelqu'un, il s'en abstiendra. Quelle utilité à dire à cet homme qu'il est vraiment laid, cette jeune fille trop franche? Probable qu'ils le sachent déjà, et qu'ils n'ont pas besoin qu'on leur rappelle pour en être parfaitement conscients. Toutefois, il y a bien un cas de figure où mentir devient un jeu extrêmement amusant pour lui: quand il sait que vous savez qu'il raconte absolument n'importe quoi, mais que vous ne le lui dite pas ou faite semblant de le croire. Là, en plus d'être certain que cela ne fera de mal à personne, et que vous n'êtes pas dupe, il essayera de voir s'il peut vous convaincre, si vous êtes un invétéré menteur, ou si vous lui relancez la vérité au visage. Et au bout de combien de temps vous lui dites d'arrêter, aussi. Par jeu donc, il peut le faire. Et s'il ne ment pas tout le temps, il est utile de préciser qu'il joue la comédie à merveilles. Mais comme je l'ai déjà dit, il ne se donne pas cette peine pour rien. Vous l'aurez donc compris, il peut agir par jeu pour beaucoup de choses. Il passe sa vie à s'ennuyer de tout, alors, quand il trouve une personne ou une occupation à son goût, nul besoin de dire qu'il fera tout pour continuer à s'amuser un moment. Son problème dans ces cas là est la notion de danger, qu'il a quelque mal à évaluer. S'il a décidé que, pour s'amuser, partir de chez lui avec quelqu'un et aller passer la nuit dans la forêt, voir si vous pouviez sauter de la fenêtre du deuxième étage sans vous faire mal à l'arrivée, était une idée judicieuse, il voudra le faire. Sans forcément penser à mal, bien entendu; s'il vous apprécie, ce n'est pas pour vous tuer. Il faudra alors juste lui donner de bonnes raisons, de lui faire comprendre que c'est vraiment dangereux, et il abandonnera l'idée pour des jeux plus innocents. Et là, cela peut être n'importe quoi: à qui fera le meilleur gâteau, cache-cache, n'importe quoi, vraiment, le plus strict n'importe quoi. Quand il s'amuse, il rira, et cela arrive donc souvent. Il sourit la plupart du temps, à part quand il s'ennuie. Là, soupires et mauvaise humeur sont de rigueur. D'ailleurs, si un mot devait le caractériser, ce serait probablement 'lunatique'. En effet, ses changements d'humeur sont aussi radicaux que brusques. Il peut rire, trouver quelque chose follement amusant et, la seconde d'après, s'énerver dans les règles de l'art. Il ne se mettra pas en colère contre des personnes qu'il apprécie, mais par contre, s'il ne vous aime pas, vous risquer de devoir essuyer quelques ennuis. En effet, si vous lui faites du mal, lui nuisez de quelque manière que ce soit, il ne pardonnera pas. Ce n'est tout simplement pas dans ses principes. Il ne déteste pas chaque personne à la moindre erreur, mais s'il décide que l'une d'entre elles est suffisamment importante, l'eau aura beau couler sous les ponts, il n'oubliera pas. Et vous renverra l'ascenseur, un jour où l'autre. Il essaiera simplement de vous faire la même chose que vous lui avez faite, à peu près, voir pire, mais jamais moins. Rancunier donc, il ne se formalise pas de la moindre critique pour autant. Lui-même aura beau dire qu'il se trouve génial, il n'en pensera pas véritablement un mot, et sera capable de se trouver les pires défauts du monde, et se détester malgré les apparences. Donc, s'il s'énervera à coup sûr si vous lui dites ceci ou cela, justifié ou pas, cela ne durera pas. Par contre, quand il s'énerve justement, il a une fâcheuse tendance à tout critiquer et, surtout, à ne pas être poli. Du tout. La même chose se produit lorsqu'il est avec des personnes qu'il connait et qu'il apprécie beaucoup; il ne surveillera plus son langage, et cela se ressentira, disons. Son comportement dépend donc quasiment entièrement des personnes avec qui il est. Quelqu'un qu'il n'aime pas fait quelque chose qui ne lui plait pas, plus encore s'il lui est supérieur, et cette dernière aura des problèmes de tailles. Quelqu'un qu'il apprécie en revanche, il se contentera de lui dire qu'il n'a pas aimé, avant de ne se remettre à rire et à plaisanter. Il est donc d'un naturel plutôt enjoué, ris, n'hésite pas à aller voir les gens. En effet, il n'est pas timide et n'a en principe pas de réels problèmes pour s'intégrer, si l'on excepte le fait qu'il déménage sans cesse et que, par conséquent, il ai du mal à se faire des amis vraiment proches. Exigeant, il demande toujours le mieux, et tente bon gré mal gré d'obtenir tout ce qu'il veut. Méfiant, il n'ira pas raconter des secrets au premier venu, et garde à l'esprit que l'on pourrait bien le trahir un jour, même les personnes auxquelles il tient. S'il vous fait complètement confiance, qu'il se repose sur vous, est toujours sincère, alors il attendra de vous que vous soyez solide, et que vous ne le laissiez pas tomber. Ne supportant tout simplement pas l'idée même d'être seul, il a une peur bleue qu'on l'abandonne, et hésite donc à s'attacher vraiment aux autres. Alors s'il le fait tout de même, on peut comprendre qu'il ne supporterait pas que cela arrive. Prenant un peu tout avec une désinvolture déconcertante, il pense qu'il trouvera toujours un moyen ou un autre de régler ses problèmes. Ce qui n'est pourtant pas toujours vrai. S'il est intelligent, capable de réagir vite, son sens des priorités, différant de la norme habituelle, disons, l'empêchera parfois d'agir de la bonne manière aux yeux du monde. Le monde d'ailleurs, se dit-il, doit le remarquer, et il fera tout en ce sens, en public. Arriver un peu en retard, un peu après tout le monde, juste pour se faire voir. Aller discuter avec celui qui est seul plutôt que la foule, juste pour être à part. Il se place donc volontairement dans les minorités, sans se faire détester non plus. S'il n'est pas foncièrement méchant, il lui arrive d'être, avec les personnes qu'il a décidé détester, relativement sadique et violent. Lancer quelque chose à la figure de quelqu'un dont il sait qu'il ne lui rendra pas le coup ne le dérangerait pas, mais en revanche, jamais il ne le serait avec ses amis, avec lesquels il est bien plus gentil. Il n'est d'ailleurs pas avare de compliments et de liuanges à leur égard, et il n'est pas vraiment jaloux. Curieux, il se mêle souvent des problèmes des autres, mais arrêtera si vous le lui demandez clairement. S'il rit souvent et n'est pas hypocrite, ses réflexions sont souvent d'un pessimisme déprimant, et les conclusions auxquelles le mènent ne sont guère plus joyeuses. Ce qui ne l'empêche pas, paradoxalement, de s'amuser et de vivre sa vie. Il sépare juste très clairement le 'bon' côté de sa vie du 'mauvais' pour être capable d'apprécier le premier à sa juste valeur. Pleurer en public ne le dérange pas tant.
Autre point important, il déteste l'autorité et, s'il est habitué à donner des ordres à tout va, il serait très mal avisé de lui en donner. Il s'arrangerait pour trouver un moyen de contourner ce que vous lui avez dit, la faille dans votre phrase. S'il obéit, c'est à contre-coeur. Enfin, pour terminer, s'il est obligé de suivre ses parents dans leurs déplacements, il y a une raison. Autre qu'il n'obéisse à personne sans cela; complètement différente quoique tout aussi véridique. En effet, il est déjà arrivé qu'il tombe amoureux de quelqu'un et que, de son point de vue, l'autre lui rende ses sentiments. Et donc de suivre la dite personne, d'aller la voir sans cesse, de lui parler, de lui rappeler à quel point ils s'aiment, en un ensemble qui peut vite tourner au harcèlement pur et simple. Il a besoin que quelqu'un l'aime et, s'il s'attache à une personne, il ne pourrait envisager que ce ne soit pas son cas à elle. Il pourra donc croire, réellement croire, être ami, amoureux. Que ce soit véritablement le cas ou pas ne change au final pas grand chose. [J'ai pas bien réussi la description mentale, mais je vois très bien comment il est... Je suis une fille bizarre.XD]

Pays:Un peu des trois. Pas Sal'ahë bien sûr.

Arme: Il peut utiliser une épée, du moment qu'elle ne soit pas trop lourde, mais comme je l'ai déjà dit, il faut alors qu'il fasse attention à ne pas se blesser.

Race: humain

Histoire: Camille Rosenthal n'est pas une personne à l'histoire particulièrement sombre, trop ceci ou cela. Pour autant on ne peut dire qu'elle ne soit tissée que de fils de couleurs gaies et pastel. Il n'irait pas s'en plaindre; après tout, il n'est sûrement pas la personne la plus triste que e monde aie su porter. Tout serait d'ailleurs sans nul doute beaucoup mieux allé pour lui si sa mère, Violine Lawhend, jeune fille de bonne famille, n'avait pas voué une telle aversion à Harry dès leur toute première rencontre. Peut-être, si elle s'était donné la peine de le cacher un peu mieux. Ou peut-être que si ce dernier avait été moins détestable, tout se serait bien passé, sinon idéalement au moins correctement. Violine donc, était la cadette d'une famille riche, nouveaux riches, des basses-classes de la bourgeoisie à Moria. Avec se longs cheveux blonds, sa taille fine et ses grands yeux pâles, il était très clair qu'elle était très belle; tout comme Adelinne, d'ailleurs, sa sœur jumelle. Copie conforme l'une de l'autre, elles étaient extrêmement proches, ne se lassant jamais d'écouter leurs joies et déboires respectifs. Leur frère aîné, José, était quant à lui quelque peu en reste, sans s'en soucier réellement. Destiné à hériter de la fortune et de l'entreprise de ses parents, tout allait pour le mieux pour lui également. On aurait alors pu dire que tout se serait bien passé pour longtemps encore, mais évidemment, ce ne fut pas le cas. Lorsqu'un homme, immensément riche, bien plus qu'eux en tout cas, sans faire partie de la noblesse pour autant, croisa les yeux de la jeune demoiselle, les choses commencèrent à dégénérer, le bonheur dévala la pente jusqu'à se briser au pied de la colline. Lunatique, étrange, intéressé, en plus d'avoir des affaires ne semblant pas toujours être au summum de l'honnêteté quoique sans cesse au beau fixe, Violine le détesta de suite. La simple idée de passer le restant de ses jours avec lui la répugnait, du plus profond d'elle-même. Mais une jeune femme reste une jeune femme, et elle n'avait guère son mot à dire quant à son futur; c'était à ses parents de prendre une décision et, de toute évidence, sacrifier le bonheur de l'une pour le bien commun ne leur semblait pas être une si mauvaise idée que cela. Ni ses propres protestations, ni celles de sa sœur n'y changèrent quoi que ce fut; et, en moins de temps qu'il ne fallu pour le dire, elle fut unie par les liens sacrés du mariage avec une personne qu'elle abhorrait et abominait. Elle souriait toutefois, comme on le lui avait toujours appris, exécutant avec une certaine résignation ce que l'on lui avait appris. Au tout jeune âge de seize ans, alors que son très cher mari en avait vingt-sept. Elle n'avait eu aucune envie d'apprendre à le connaître, toute persuadée qu'elle était de ne trouver que confirmation de ses suppositions, qui n'avaient rien de reluisant. Au début, elle trouva le temps d'aller voir sa famille souvent, Adelinne notamment, mais leur maison à la capitale se trouvait somme toute suffisamment loin de la grande habitation qu'habitaient ses parents à Akita pour qu'elles s'espacent considérablement avec le temps qui passait. Harry, lunatique et souvent de mauvaise humeur, n'étant pas non plus un modèle de beauté, était en revanche très intelligent, et n'était pas, certaines monumentales crises de colère mises à part, un foncièrement mauvais personnage. Et faute de l'apprécier, Violine finit par, pour ainsi dire, s'y accoutumer. Et cesser de se plaindre. Dans la même année que celle de son mariage, elle tomba enceinte. Cette idée la réjouit beaucoup, tout en l'effrayant quelque peu, dans la mesure où la femme de son frère était décédée des suites de son deuxièmes accouchement. Adorant les enfants cependant, elle tenta de ne pas trop s'en faire et de juste être heureuse. Suite à cela, sa famille vint plus souvent lui rendre visite; mais si elle-même avait finit par ne plus haïr Harry, ce n'était pas le cas de sa sœur, qui semblait plus dégoutée que jamais par cet 'odieuse personne'. Les premières années de la vie de Camille furent donc placées sous le signe de la normalité la plus totale; pas d'évènement particulièrement choquant, rien qui puisse réellement sortir de l'ordinaire pour lui. Les violentes disputes parfois de ses parents ne lui semblaient pas si grave que cela; après tout, il les avait toujours entendues et ne s'en était jamais formalisé. C'était normal, pas vrai? Son père semblait à peine le remarquer, et sa mère reportait sur lui tout l'amour qu'elle n'avait su donner à son mari, loin de l'image du Prince charmant de ses rêves de petite fille. De même, sa tante Adelinne leur rendait quelques visites; trop petit à l'époque, il ne s'en souvient que de manière vague et diffuse, floue au possible. A peine de vagues rémanences. Mais elle se disputait énormément avec Violine, ces deux personnes si semblables, confondables, avec le même style d'habillement, un visage à l'identique, la même longueur de cheveux, la même taille, tout. Son père, passant son temps entre ses recherches, son travail et des disputes de plus en plus fréquentes et violentes. Et l'une d'entre elles dégénéra. Violine tomba dans les escalier, les dévala jusqu'au bout, jusqu'à sol dur, pour ne plus se relever. Jamais. Adelinne, présente cette fois-là, voulut évidemment prévenir ses parents, raconter, dénoncer. Mais cela n'arriva pas. Harry menaçant purement et simplement non seulement Camille, mais aussi de faire couler l'entreprise de ses parents, son frère, un peu tout et n'importe quoi. Et c'est ainsi que pour tout le monde, Adelinne partit au couvant, sans demander son reste à ses parents, et que l'ont entendit plus parler d'elle, sans que cela fasse plus de scandale que cela. Et que Violine ne mourut pas, en quelques sortes. La copie conforme l'une de l'autre. Personne n'aurait pu deviner.

Camille donc, ne se rendit pas vraiment compte de ce qu'il se passait, alors âgé de seulement cinq ans. On ne l'aurait jamais mis au courant, s'il n'avait pas surpris des conversations entre ses 'parents' qui, misent bout à bout, lui donnèrent un semblant d'idée quant à ce pourquoi sa mère avait si brusquement changé de comportement, même à son égard. Elle ne semblait plus l'aimer ou, en tout cas, partagée entre des moments où elle le haïssait pour être le fils du meurtrier de sa sœur, et d'autres où elle désirait du plus profond de son être le protéger. Cette différence, cette perturbation était compréhensible; mais pas pour lui. Pas pour lui à qui l'on avait pas jugé bon d'apprendre quoi que ce soit d'autre que ses cours, pas pour un enfant. Comment savoir à l'avance si la main qui se tendait vers lui allait s'abattre comme un couperet sur sa joue ou le serrer contre elle? Comment savoir si cette bouche allait articuler des mots d'amour ou les pires choses jamais entendues? Impossible. Alors, il décida simplement, inconsciemment, sans le vouloir ni le savoir, de se protéger de l:a meilleure des manières qui soient: ne plus s'en occuper. Se séparer, s'écarter, prendre ses distances. Reléguer cette femme du rang de mère à celui de simple personne dont la seule utilité était de lui donner des ordres. Mais malgré cela, malgré tout cela, cela faisait toujours mal. Et ce n'était pas près de son père qu'il risquait de trouver le moindre soutient quel qu'il soit. Plus colérique à chaque jour qui passait, plus lunatique, on ne se risquait que peu à lui adresser la parole. Et ce n'aurait sûrement pas été son fils qui aurait dérogé à la règle. Moins il lui parlait à la vérité, mieux il se sentait! Cette femme que tout le monde appelait Violine n'était pas Violine, et encore moins sa mère! Et ce type avec lequel il ne partageait pour seul et unique point commun, que ce soit mentalement ou physiquement, ses humeurs changeantes, ne pouvait être son père. Il était évident qu'ils n'aillent que peu voir la famille Lawhend qui, sans doute, aurait pu se rendre compte de la supercherie. Camille ne connut donc jamais vraiment bien ses grands-parents, et ce n'est qu'à la mort de ceux-ci qu'il vit son oncle et ses cousins que lorsqu'il fut âgé de neuf ans, presque dix. Il aurait espéré trouver là un soutient de quelque sorte qu'il fut; peine perdue. Son oncle ne l'aimait pas, Klaus et Rebecca, respectivement âgés de vingt-deux et vingt-trois ans, en plus d'être séparés de lui par un gouffre d'années qui, à cet âge, semble infranchissable, ne l'intéressaient juste pas. Elle, superficielle, adepte de la méchanceté gratuite et autre. Lui, un peu bizarre et incapable d'être sérieux, d'écouter, avec un sens des priorités et des responsabilités plus qu'erroné. Son père semblait avoir coupé les ponts avec sa famille bien avant sa naissance, et il n'en entendait jamais parler. Mais, comme tout naufragé recherche une planche pour garder la tête hors de l'eau, comme toute personne prise dans la fumée d'un incendie cherche à tâtons la porte de sortie, lui, cherchait quelqu'un à qui s'accrocher. Il le fallait bien, non? Les servantes, cela touchait à sa famille; et la défiance naturelle qu'il avait développé à leur égard s'était quasiment transformée en haine viscérale envers certains. Il les considérait plus comme des jouets qu'autre chose. Ce fut alors qu'il se fit un ami, un ami très proche. Plus jeune que lui de quelques années, ils s'écoutaient, ou laissaient le silence s'exprimer pour eux. Lui faisant office de petit frère/ami/confident, tout reposait, pour lui, sur ses épaules et ses sourires. Parce qu'au moins, il avait l'impression d'être utile en le faisait rire. Cela n'alla pas en s'arrangeant lorsqu'il rencontra la sœur aînée de celui-ci; jolie, gentille, peut-être deux ans de plus que lui. Et il tomba amoureux, sans penser une seule seconde que ce pourrait ne pas être réciproque. Son équilibre était bien trop fragile pour souffrir le moindre problème sans s'écrouler. Et enterrer quelques personnes sous ses gravats. Il lui envoya donc des cadeaux, il lui parla donc encore et encore, il alla la voir tous les jours, parfois même au milieu de la nuit, lui parla de leur avenir, et de la fuite qu'ils feraient ensemble, avec son frère aussi, qu'il ne voulait pas abandonner non plus. Et comme ils s'aimaient, comme ils s'aimaient surtout, et comme ils avaient de la chance. A un tel point que la demoiselle, Jilianne de son nom, finit par avoir peur. Très peur. Lui de son côté ne voyait pas son regard fuyant, ni les tremblements dans sa voix. Ils s'aimaient et c'était tout; et elle n'aurait pas pu le repousser, parce qu'ils s'aimaient et qu'ils s'aimaient et que c'était tout ce qui comptait. Ces paroles répétées sans cesse, longue litanie passionnée, finirent par la terroriser purement et simplement. Les discours de Silvian, son petit frère, n'y changèrent rien. Lui de son côté, continuait à suivre Camille, comme une sorte de modèle à tout, et ne voyait pas grand chose de ce qui se tramait. A sept ans d'un certain côté, le contraire eut été étonnant au demeurant. Lorsque Silvian et Jilianne furent contraints de déménager, pour d'évidentes raisons, et se diriger vers Oria (Silvian n'avait, avait-il alors précisé, pas le droit de le dire à Camille, mais il l'avait fait tout de même; il savait aussi que sa sœur préférait aller avec sa tante à Sal'ahë, mais c'était un secret) Camille se sentit mal. Terriblement seul, à vrai dire. Il se rapprocha un peu de quelques autres de ses amis, sans grand succès: ce qui le maintint fut uniquement la promesse de Silvian de revenir et de travailler 'à servir à sa maison' quand il serait en âge. Et ce fut également cette année là, pour couronner le tout, que Melfia Hider trouva la Kara-Xanthe. Il cessa d'envoyer de lettres et présents à Jilianne à partir de ce jour là; chanceuse dans son malheur, quelque part. Son père vit son intérêt piqué au vif; éminent chercheur, scientifique à l'intelligence vraiment développée, il tint à l'étudier de près en prenant, cela allait sans le dire, le moins de risques possible. Ce fut donc le premier déménagement d'une longue liste; le grand manoir qu'ils habitaient à Moria fut pour un temps délaissé. Sa 'mère' aurait pu rester; elle ne voulait pas laisser Camille seul, sans doute l'un de ses moments de bonté. Un autre manoir à Oria, puis Hatès. Des recherches, passer de cour en cour. Mais rien de tout cela n'intéressait le jeune garçon. Ceci dit en passant, cela l'ennuie toujours autant qu'avant. Tout ce qu'il voyait, lui, c'était qu'il ne restait même pas suffisamment longtemps quelque part pour pouvoir se faire de véritables amis proches.

Rang: Trop jeune pour travailler. En revanche son père fait des recherches poussées sur la Kara-Xanthe. Il l'étudie, en quelque sorte, ce qui explique qu'il doive se rendre dans les différents royaumes de Lysandre. Mais cela n'intéresse pas beaucoup Camille...

Code du règlement: 732

Autre: Tanaka devait arriver avant, oui. Je l'ai même bien avancé. Seulement le temps que je finisse l'historique pour pouvoir terminer sa fiche, que je vérifie tous les âges et évènements et que rajoute deux ou trois détails, il y a encore le temps. Pour le moment je peux vous informer que j'ai terminé la majorité de celui d'Oria et donc parallèlement, d'Hatès, comme ce seront les deux plus concernés par son histoire. Mais le temps que je fasse Sal'ahë et Moria, pour qu'il n'y ai pas de différence, je vous laisse méditer là dessus. Never me comprendra, je crois; elle aussi a dû en faire un sur Illea. Alors, je fait Camille avant, tant pis...

Expression favorite (facultatif): Ce n'est pas drôle de toujours gagner, alors je m'ennuie.

Plat préféré: Difficile à dire; il peut trouver un plat délicieux un jour et à vomir le lendemain.

Plat le moins aimé: De même. Excepté pour les légumes et le lait, sur lequel Camille fait un véritable blocage.

Amis: Les gens qui l'apprécient, ainsi qu'un garçon d'environ trois ans plus jeune que lui, Silvian.

Ennemis: Ceux qui ne l'aiment pas. Ou qu'il n'aime pas. Voir même les deux en même temps.

Famille: Son père, nommé Harry, son oncle José, sa mère Violine, et son cousin Klaus ainsi que sa cousine Rebecca.

Couleur préférée: Violet foncé et vert.

Couleur la moins aimée: Mauve et pêche.

Sexualité: complètement indéterminée...~

Hobby: Camille passe son temps à s'ennuyer; mais l'un de ses passe-temps favoris est de jouer à cache-cache, ou d'autres jeux de la sorte. Il faut bien passer le temps.

Signe du zodiac: Il est né le quatre octobre; je vous laisse faire le calcul.

Sait chanter?: Non. Il ne semble pas y avoir de limite à la fausseté des notes qui sortent de sa bouche...

Danse favorite: un peu toutes les danses, honnêtement. Camille a-do-re inconditionnellement danser.

Photogénique?: Moui?XD

Allergies: Au pêches, justement.

Religion: ///

Prénom préféré: Lyra pour une fille, et Dylan pour un garçon.

Sports favoris: Eum. Aucun?

Aime le thé? En règle générale, oui.

Aime le café? En règle générale, non.

Animal préféré? Les papillons. Les attraper et les accrocher pour les encadrer après, plus précisément, mais...

Plus grande peur: Se retrouver seul.

Parfums favoris? Tant que ça ne sent pas mauvais...

Dépendances?: Pas à ma connaissance. Disons que... Non?

Mensurations: Vraiment? Demandez, et vous obtiendrez sûrement la réponse de sa bouche; zéro complexe.

Ah, et, Aeon, si tu ne l'aimes pas, sous prétexte qu'il y a trop de personnages, je te dis bien gentiment de l'ignorer et d'aller te faire voir. Merci.^^
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ROSENTHAL Camille
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