WILHELM Takeshi

♠Nom: Wilhelm

♠Prénom: Takeshi

♠Âge: 16 ans.

♠Description physique (dix lignes minimum): Premièrement, commençons par le commencement. D'un point de vue général, si Takeshi n'est pas le genre de personne qu'on pourrait facilement qualifier de terriblement remarquable, il n'est pas non plus du type de ceux qui passent tout à fait inaperçu. Tout d'abord, son allure générale n'attire pas vraiment l'attention: mesurant un mètre soixante-quinze, il est d'une taille qu'il juge être tout à fait normale pour son âge, et ce accompagné d'une taille relativement mince, puisq'u'il ne pèse qu'une petite cinquantaine de kilos. De cela non plus, il ne se plaint pas, cela lui offre un certain avantage lors de situatios plus ou moins périlleuses, et lui évite bien des ennuis. Souple et rapide, il pallie un certain manque de force avec ces dernières qualités, donc en cas de combat il ne s'en trouve généralement pas ou peu handicapé. Comme tous les Antarrs, Takeshi se bat. Et donc, ne faisant pas partie intégrante des combattants les plus puissants de Sal'ahë, récolte parfois une longue éraflure ou une cicatrice... Qu'il fait de son mieux pour cacher, par ailleurs, se souciant assez de son apparence physique pour es juger plus que disgracieuses: qui plus est, de son avis, elles ne sont en rien une quelconque preuvce de courage, mais plutôt une preuve de faiblesse. Donc, en somme, il est assez rare de le voir arborer l'une d'elles. Ses cheveux, quant à eux, ont une couleur qu'on pourrait dire spéciale, et peu commune. En effet, ces derniers ont une couleur gris clair par endroit, avec malgré tout une grande dominante de blanche. Ni véritablement longs, ni véritablement courts, il les arrange de telle sorte qu'une mèche vient se placer juste devant son oeil droit. Sa peau, elle, est d'un naturel particulièrement pâle, diaphane, lui donnant presque l'air maladif. Cependant, si l'on peut au début croire qu'il s'agit d'un jeune garçon sans défense, et malade de surcroit, il suffi de lui en fair la remarque pour bien vite déchanter: il n'hésiterai pas une seule seconde à vous planter un couteau dans le dos pour ça, sans vous donner ne serait-ce que le temps de vous excuser.
Ses yeux en revanche, ont radicalement changé de couleur depuis la découverte de la Kara-Xanthe par la douce Melfia: ceux ci avaient, auparavant, une magnifique couleur bleue cobalt, que faisaient ressortir sa peau et sa chevelure pâle. Dorénavant, il serait bien difficile de donner une quelconque définition à la couleur de ses iris, puisqu'ils n'en n'ont plus aucune. Plus précisément, ils les ont perdues ce jour là, comme bon nombre d'habitants de Sal'ahë. Si seulement une minorité à été impliquée par ce fait, il n'en reste pas moins que ce n'est pas une chose des plus exceptionnelle, d'autant qu'il a conservé sa pupille.
Dans tous loes cas de figure possible, s'il est vrai qu'on pourrait parfitement passer à côté de ce genre de personne sans même le remarquer, une chose contribue encore à le démarquer: ses goûts vestimentaires, pour ainsi dire. Que ce soit avant ou après l'irradiation à la pierre mystérieuse, Takeshi s'est toujours habillé... Un peu n'importe comment. Les seules fois où ses vêtements avaient été horriblement classiques et passe partout, c'était bien lorsque ses parents se chargeaient de l'habiller, alors qu'il n'était encore que trop petit pour les choisir de son propre chef. Jamais l'idée d'enfiler quelque chose que l'on pourrait qualifier de "normale" ne lui passe par l'esprit, ce serait même l'une des dernières choses qu'il aurait envie de faire, pour être tout à fait honnête. De manère générale, il ne porte presque uniquement que des couleures sombres, telles que le noir ou le gris foncé, parfois argumentée d'une petite touche de blanc par ci par là. Un pull léger rayé de ses deux teintes favorites fera tout à fait son bonheur, argumenté, parfois, d'une veste marron grise, tandis qu'il porte un pantalon de ce même coloris. Ses chaussures, des bottes à lacets, peuvent par contre être d'un peu n'importe quelle couleur, du moment qu'elle s'harmonise avec celles qu'il porte autrement. Ses fantasies se trouvent plus dans des bijoux en tout genre qui ne le quittent jamais. De très nombreux colliers, des croix gothiques aux colliers de perle en passant par les chaines fines, enfin bref, de tout et n'importe quoi tant que cela brille. D'ailleurs, il ne va quasiment jamais tête nue dehors, puisqu'il porte constamment un diadème. Cela pourrait paraitre étrange, surtout venant d'un garçon, de s'habiller de la sorte mais, somme toute, si le rendu est certes plutôt étrange, cela lui va relativement bien. A ses yeux, qu'importe ce que les autres pensent, il s'est toujours habillé de la sorte, et ne changera pour personne. C'est comme ça, et c'est tout, point final.

♠Description mentale (dix lignes minimum): Pour commencer, il y a bien une chose, un mot qui, à lui seul, pourrait à merveille résumer le caractère de Takeshi: Antarr. En effet, ce simple fait explique beaucoup, et lui donne certains traits de caractères connu de tous, et que tous les membres de cette race maudite partagent; on pourrait alors croire que tous sont pareil, jusque dans leurs moindres manières de penser. Pourtant, il n'y a rien de plus faux que d'affirmer cela: comme tout un chacun, ils possèdent des caractéristiques bien à eux, qui leur sont propres, même si, au premier abords, ils semblent pour la plupart être de simples brutes sanguinaires. Décrivons donc ces qualificatifs résumant les chemins parfois tortueux que peut prendre l'esprit du jeune homme.
Jamais il n'a été une personne particulièrement gentille, à dire vrai. Jamais non plus, avant la découverte de la Kara-Xanthe, il n'a été particulièrement méchant. Mais, avouons le, il a toujours été plus axé à rabaisser les autres qu'à les encourager et devenir leur ami. Que ce soit avant ou après, cette spécifité ne l'a jamais véritablement quitté, en fait. Parce que les autres valent moins que lui, sont moins bien, moins important, qu'ils sont bêtes et ne comprennent rien à rien. C'est tout du moins sa manière de penser. Pourquoi les autres personnes qui l'entourent seraient-elles des personnes bien? De son avis, la compagnie n'est pas nécéssaire, enfin, la compagnie des gens qui l'indiffèrent totalement. Pour ceux qu'il apprécie, après, la donne change complètement. Etre avec quelqu'un qu'il aime, bien que ces personnes ne soient pas des plus nombreuses, est une chose qu'il n'échangerait pour rien au monde. Peu démonstratif, il n'en reste pas moins que de petites attentions par ci par là témoignaient de son affection. Témoignaient, au passé, évidemment. Car depuis qu'il est devenu un Antarr, les émotions que le bourgeois est capable de ressentir se sont drastiquement réduites. Ou,n plus exactement, s'il les ressent toujours, plus de la même manière. D'une manière si ténue qu'on pourrait croire ces sentiments inexistants, ce qu'ils sont presque, de toute façon. Trop effacés, à présent, pour que qui ce soit puisse les remarquer. L'idée que les autres soient passablement idiots, quant à elle, à germé dans son esprit au fil des années, et des mois quoi passaient inexorablement. Parce que Takashi était peut-être un peu plus intelligent que la moyenne, oui. Oh, pas de beaucoup, mais des notes sensiblement meilleures, des raisonnement sensiblement moins bancals, bref, ce genre de choses bien peu significatives, le lui ont fait croire. Bien sûr, s'il se rend compte qu'en vérité, une personne, quelle qu'elle soit, est parfaitement capable et pertinente, alors il se passera simplement de commentaire. Si, en revanche, il se révèle que cette dite personne soit ce qu'il pourrait juger "bête et inintéressante", alors il ne se gênra pas pour le lui faire savoir, et ce sans utiliser de gants, prendre de demies-mesures et faire dans la dentelle. Prendre des pincettes, il ne connait pas. A part, depuis trois ans maintenant, pour retirer les ongles ou les dents de ses victimes. Là, des pinces s'imposent d'elles même. Pour autant qu'il le sache, le jeune garçon aux yeux blanc n'est pas des plus faibles, bien que sans faire partie intégrante de l'élite de combat. C'est sans doute le fait qu'il le sache qui ne fait que le rendre plus dangereux encore: les plus faibles, il les écrase, et y prend un plair malsain. Les plus forts, il les admire, et ne leur cherche pas bagarre.
De même que pour la gentillesse, la lâcheté dépend des gens avec qui il est. Si une quelconque technique pas vraiment glorieuse lui permet de sauver sa peau tandis qu'aucune autre plus honnête ne le peut, alors une fois de plus, Takeshi ne va pa se déranger pour un soi disant honneur. L'honneur, si on est mort, il ne nous sert strictement plus à rien. De telles considérations, comme l'honneur, à plus forte raison depuis qu'il est Antarr, ne l'atteignent pas trop.
Lorsqu'il se bat, désormais, ce qu'il aime le plus, c'est trancher. Pourquoi? Sans aucune raison valables autre que le fait qu'il aime sentir la peau et la chair s'ouvrir sous la pression de son couteau -ou tout autre instrument au tranchant affuté, d'ailleurs- et voir le sang couler de la plaie ouverte. Oui, il aime ça au moins autant que de voir la terreur face à la mort dans les yeux de la malheureuse victime, les voir devenir de plus en plus vitreux, et savoir que bientpot le corps, vidé du sang chaud qui coulait das tous ces vaisseaux sanguin, ne sera guère plus que de la viande froide. Arracher, percer, il n'apprécie pas autant mais, des fois, un peu de changement est le bienvenu. Donc, il coupe, tire, arrache, perce, tranche, le tout avec un sourire dément aux lèvres. Laisser une personne agoniser pendant des heures, voir des jours, ça ne le gêne pas. Dans une certaine mesure, on peu même dire qu'il apprécie de le faire. Ce n'est pas pour autant qu'il passe ses journées à se battre, mais si on l'agresse, il va indubitablement se défendre, quitte à se retirer du combat s'il ne tourne visiblement pas en sa faveur.
Somme toute, des sentiments, il en a gardé: seulement, sa famille ne compte plus autant qu'auparavant, si tant est bien spur qu'on considère qu'elle compte encore à ses yeux, et tuer est devenu l'une des choses qui le dérendent et l'amuse le plus. Après, s'il déteste foncièrement, abhorre la personne qu'il torture, ce n'en est que plus amusant encore... De nature donc plutôt égoïste qu'altruiste, Takeshi fait aussi preuve d'une terrible susceptibilité, les reproches sont malvenus et peuvent bien souvent aboutir à un oeil en moins pour celui qui les aura proférées, ou ceux qui seraient simplement autour, faute d'arracher son coeur...

♠Pays (de Dahrenn, Melfia, Amy, Dail): Sal'ahë

♠Arme: Pas d'arme particulière, il se bat avec ce qui lui tombe sous la main. Néanmoins, il a une légère préférence pour les objets coupants, ce qui explique qu'il ai en permanence de longues lames de cutter sur lui, plus exactement au nombre de trois.

♠Race: Humain-Antarr.

Histoire (douze lignes minimum): L'histoire de Takeshi, en elle-même, n'a rien qui puisse vraiment marquer les esprits: rien de particulièrement spécial, rien qui n'ai pu arriver qu'à lui, rien qui n'ai jamais été vécu et expérimenté par des centaines de personnes avant lui, d'exceptionnel, important, susceptible de changer la face du monde. Pourquoi? Et bien, tout simplement parce que le fait qu'il soit là ou non n'est, d'un point de vue général, pas décisif en quoi que ce soit pour des personnes autres que son entourage. La vie des personnes très haut placées est toujours très importante. Celle des autres, non. Néanmoins, le passé est une chose qui compte malgré tout beaucoup aux yeux du jeune homme. C'est ce qui fait qu'on est ce qu'on est et pas autre chose, au fond. Alors, commençons par le commencement, un huit novembre, dans la pluvieuse contrée qu'était Sal'ahë. Petit déjà, il apprit à ne pas jouer avec les simples villageois sans fortune, à tenter de s'élever plus haut que les nobles, à travailler pour reprendre les affaires de la famille, plus tard. A vrai dire, il ne s'est jamais posé de question sur le pourquoi du comment: c'était comme ça, et c'était tout, parce que. Il était l'aîné, ou tout du moins, si on ne prenait en compte que les garçons, et se devat donc d'être le meilleur. Pour continuer l'oeuvre de ses parents, faire fructifier la fortune familiale, juste parce que. Le genre de réponse dont on peut se satisfaire, tant que faire ces dites choses ne nous dérangeait pas. Sa soeur, de deux ans seulement son aînée, apprenait quant à elle ce qu'une jeune femme se doit d'apprendre. A savoir donc la couture, dresser une table, bref, autant d'occupations inutiles et ininteréssantes de l'avis de son jeune frère. Donc, si vous vous occupiez à des activités aussi vaines et futiles, alors votre existence aussi, devait être vaine et futile. C'est pourquoi le jeune Wilhelm n'eut jamais une estime hors du commun pour cette fille qui portait le même nom que lui, mais avec laquelle il n'avait aucune ressemblance. Mais pas d'estime particulière ne signifiait pas qu'il ne lui portait en revanche aucune affection, bien sûr. D'ailleurs, dans la famille, il se sentait toujors plus proche de cette dernière que de sa cadette, ou même de sa mère... Son père de son côté était bien plus strict qu'aimant. Et puis, on le lui avait sans cesse répété: les plus faibles ne valaient pas grand chose, ou ne devenaient jamais personne. Ce fut donc sans aucun cri ou aucune effusion de larme de toute sorte qu'il dit un "au revoir" à son père lorsque ce dernier fut réquisissionné pour l'armée. Livrer une simple bataille, comme sa mère répétait. Il y avait des tas de survivants à une bataille. Mais bon, il y avait aussi des morts. Cet au revoir, alors que Takeshi n'avait que dix ans, fut en réalité un adieu. Oh, on ne le lui dit pas tout de suite. Il comprit, en quelque sorte. De là, ce fut l'une des rares fois où une malheureuse perle saline coula en dehors de ses yeux alors encore bleus. Les finances de la famille, en premier temps, n'eurent de cesse de se dégrader: certaines moqueries, parfois, le blessèrent réellement. De ça, il n'aurait parlé à personne, à aucun prix. Dès que la situation s'améliora, les raillries stopprent immédiatement. Cependant, à partir de ce moment là, le jeune homme décida qu'il devrat rendre coup pour coup les dites moqueries qu'il avait subies. Déjà peu sympathique avant cela, il devint un brin encore plus méprisant. Les autres étaient, techniquement, -sauf exception, pour ces gens qui étaient ses amis- tous bêtes, idiots. S'il partait de ce point de vue là, il pouvait tous les rabaisser, et leur rappeler qu'ils ne seraient jamais personne aux yeux de tous et, plus important, aux siens.

Rang (général, dirigeant, villageois...): Bourgeois, c'est le fils de ses parents, quoi...XD

Code du règlement: 732

Autre: Il aime la pluie, tient, mais pas être mouillé et avoir froid... Quelqu'un voudrait pas le réchauffer?XD *SBAFF!*

Expression favorite (facultatif): Ce qui est beau est fait pour disparaitre. Ce qui reste est toujours laid...