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 RYAN Kriss

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AuteurMessage
Kriss Ryan
villageois
Kriss Ryan

Messages : 17
Inscrit depuis le : 29/05/2010
Age : 28
Localisation : Et bien, cherche mieux que ça.>__>

Feuille de personnage
Nom/prénom: Jésus Kriss Gabriel Ryan.
Arme: Magie
fonction: Serviteur.

RYAN Kriss Empty
MessageSujet: RYAN Kriss   RYAN Kriss Icon_minitime1Dim 30 Mai - 1:35

RYAN Kriss 100529114610730453 Votre Personnage RYAN Kriss 100529115809717410








Nom: Ryan {Raïanne}

Prénom: Jésus-Kriss Gabriel. Mais il préfère qu'on l'appelle Kriss, d'ailleurs, c'est le nom qu'il donne quand on lui demande. Ou Gabriel, à la limite.

Âge: 15 ans.

Description physique (dix lignes minimum): Kriss Ryan est un jeune garçon de quinze ans qui, dans l'ensemble, n'a pas l'impression d'avoir à réellement se plaindre de son apparence physique, et aurait même plutôt tendance à penser le contraire; et de fait, il est difficile d'avoir un point de vue tout à fait objectif sur le physique d'une personne. Si l'on essayait de résumer pourtant, on ne pourrait pas dire que Kriss soit laid. Il n'a aucun de ces critères qui vous poussent à remarquer, dans le mauvais sens du terme, quelqu'un passant dans la rue. De là à dire que l'on se retourne sur son passage, non, bien entendu. Mais malgré cela, il reste une personne relativement agréable à regarder. Du haut de son petit mètre soixante-neuf, on ne peut dire qu'il atteigne des sommets à ce niveau; toutefois, il n'est pas difficile de trouver nombre de personnes, parfois pourtant plus vieilles, ayant un ou deux centimètres en moins que lui. D'autant qu'il ne faut pas oublier de prendre en compte qu'il a encore devant lui le temps de grandir; pas énormément, certes, mais tout de même suffisamment pour que sa taille ne l'inquiète pas outre-mesure. Certains sont grands, d'autre moyens et d'autres de petite taille; eh bien, si on le lui demandait, Kriss se situerait dans cette deuxième catégorie. En revanche, s'il ne prête qu'une attention somme toute assez modérée à sa taille, ce n'est pas le cas de son poids. Le jeune homme faot extrêmement attention à ce 'détail', sur lequel il fait, appelons les choses par leur nom, une véritable névrose. Il ne supporte pas d'être un kilo au dessus ou en dessous de ce qu'il s'est fixé, à savoir en tout et pour tout cinquante kilogrammes. Quarante-neuf parfois, selon ce qu'il mange, mais il s'agit bien là de le seule marge qu'il s'autorise. Comme la plupart des personnes en ce monde, s'il mange trop et trop sucré par exemple, il prendra du poids et, au contraire, s'il ne mange presque rien, il en perdra indubitablement, aussi fait-il attention. Le problème étant que, s'il ne se forçait pas, il n'avalerait quasiment rien de toute la journée. Un appétit d'oiseau, en quelque sorte. Vous l'aurez donc compris, il est mince et tient à le rester. Hors de question d'avoir le moindre excès à ce niveau ou, en tout cas, ce qu'il considère comme tel. Du reste, il possède donc un silhouette élancée et une certaine élégance mais, attention. Il n'est ni noble, ni bourgeois et, de ce fait, n'a pas la grâce qu'accompagne chacun des membres de ces deux classes sociale 'au dessus du lot', en particulier la première. Rien de plus normal.
Son visage quant à lui est ce qui permettrait de le classer dans la catégorie des 'mignons' plutôt que des 'beaux', et pourrait le faire passer pour un ou deux ans de moins que son âge, mais guère plus que cela; il a conservé un peu de cet air enfantin, innocent, qu'on les plus jeunes. Un peu certes, mais néanmoins pas trop pour autant: on ne pourrait pas dire qu'il ressemble à un gamin de douze ans. De treize, peut-être. Peut-être seulement ainsi que de quatorze. Ses yeux semblent d'un noir d'encre, mais en réalité, quand on regarde bien et que la lumière est suffisante, on peut se rendre compte qu'ils sont d'un bleu, foncé à l'extrême, mais bleu tout de même. Un peu comme le voile de la nuit, si on en retirait bien évidemment les étoiles, qui en ont disparu pour lui depuis le jour où la belle Melfia à mis la main sur le cristal. Petit détail à leur sujet, cepandant: il est rare de les voir tous deux en même temps. En effet, bien qu'il porte presque constemment un cache-oeil, le jeune homme n'est absolument pas borgne, et aucun de ses yeux n'est abîmé; d'ailleurs, vous remarquerez que tantôt il le porte sur le gauche, et tantô sur le droit, sans distinction particulière. Juste selon ses envies, pour tout dire. Il lui arrive de sortir sans, mais il est bon de préciser que c'est somme toute rare, pas exceptionnel mais rare; il y a donc peu de chance que vous le voyiez ainsi. Ses lèvres sont fines, même si ses sourires ont perdu leur éclat.
Kriss a les cheveux d'une couleur quelque peu similaire à celle de ses yeux, mais en légèrement moins foncé. Bleu marine, bleu nuit. Ils lui arrivent à la nuque, bien que quelques mèches de ci de là, dont deux au devant, soient un peu plus longues. A sa coiffure aussi il fait très attention et, même si elle pourrait parfois sembler quelque peu anarchique sur les bords, ce n'est pas le cas. Il prend bien arde à ce que chaque mèche aille au bon endroit, point final.
En somme donc, au niveau de son physique, il se situerait plus ou moins clairement au dessus de la moyenne, mais pas non plus extrêmement. Cela vient aussi du fait de toute façon qu'il fasse véritablement attention à son apprence, jusqu'au moindre détail. Mais là où il se distingue très clairement des autres, c'est de part son habillement qui est pour le moins, disons, atypique. En effet, Kriss a sens bien à lui de la mode, et choisit donc des vêtements en conséquence; vêtement auxquels, s'il peut les trouver un peu n'importe où, il ajoute une petite touche personnelle. Un trou au niveau du genoux dans un pantalon, un chapeau un peu trop grand, un pull avec une manche longue et une manche courte, une chaussette haute et l'autre basse, de couleur évidemment tout à fait dépareillées -à l'identique, c'est tout de suite mille fois moins intéressant. Un motif étrange, une boucle d'oreille. Deux, c'est beaucoup trop normal pour lui. Ou alors, en mettre une rouge et une dorée. Au niveau des couleurs, on pourrait dire que rien ne le dérange particulièrement, bien qu'il marque une nette préférence pour le noir, le bleu foncé et le orange. Il ne les assemble pas n'importe comment, bien qu'on puisse le penser au premier coup d'oeil. Et à vrai dire, même au niveau de son uniforme de serviteur, il a trouvé une solution pour éviter cette exrême monotonie, et en change quelques détails de ci de là jusqu'à ce que, au final, il ne ressemble guère plus à un uniforme, et n'en aie plus que le nom.

Description mentale (dix lignes minimum):

Kriss Ryan est une personne compliquée, et l'a toujours plus ou moins été. Et cela n'est pas allé en s'arrangeant depuis la découverte de la Kara-Xanthe par la demoiselle Hider, il y a de cela trois ans. Il y a un avant, il y a un après et les différences sont nettes, quoi que certains points, certains traits de son caractère aient demeuré, survécu à ce brusque changement qui affecta tout le royaume de Sal'ahë. D'autres se sont modifiés de telle sorte qu'il ne reste quasiment plus rien en commun avec son lui d'avant. Mais somme toute, on pourrait, et c'est un comble, dire qu'il est plus heureux ainsi, maintenant. Ou, faute de réellement pouvoir parler de bonheur en ce qui concerne le cœur des Antarrs, on peut dire qu'il se sent moins triste qu'avant. Il ne se sent plus rien du tout, à vrai dire, pour être tout à fait exact. Mais commençons par le commencement, avant cet événement qui bouleversera des milliers de vies en une seule seconde.

Kriss n'a jamais été une personne que l'on aurait pu qualifier de bavarde ou optimiste. Pas qu'il aie toujours tout vu en noir, loin de là, disons simplement qu'il n'a jamais vu le moindre intérêt à s'imaginer une situation plus belle et rose qu'elle ne l'est en réalité. Tout va mal? Très bien, tout va mal, pas besoin d'en faire une affaire d'état. Quand on a un problème de son point de vue, ce n'est sûrement pas en l'ignorant qu'il va se résoudre, et il risque encore moins de trouver solution seul. Alors, si on ne fait pas face et que l'on accepte pas l'idée que tout ne va pas comme on le voudrait, on n'avancera pas. Pour autant, lorsque quelque chose lui plaisait, lorsque quoi que ce fut le faisait rire, il le reconnaissait tout aussi bien. Ou, si l'on reste d'une totale objectivité, peut-être, il est vrai, légèrement moins. D'un naturel somme toute donc vaguement pessimiste à la base, il n'était pas dépressif pour autant. Ni particulièrement antipathique, d'ailleurs; faire pleurer les autres, leur faire du mal, ne l'intéressait pas le moins du monde. Pourtant il n'avait pas le cœur sur la main; à force d'entendre répéter à longueur de journée qu'il ne fallait pas donner aux autres ce qui était à soi, il a finit par 'intégrer', pour ainsi dire. Et, sans se mentir, ce n'est pas comme si cela l'avait un jour tenté plus que cela. Ce qui signifie qu'il n'est pas méchant, n'était pas de ceux qui terrorisaient les plus jeunes dans une ruelle pas vraiment fréquentée ou à l'entrée de l'école, mais pas d'une gentillesse sans bornes, il ne faut rien exagérer. Aider les autres, il veut bien, dans la mesure du possible, mais ce n'est pas une idée fixe qui le hanterait comme elle pourrait le faire pour certains, semblant s'être mis en tête de sauver à tout prix la veuve et l'orphelin. Ce qu'il faut savoir aussi, c'est que Kriss a toujours voulu attirer l'attention de ses parents et de ses demis frères et sœurs, coûte que coûte. Résultat, il ne peut s'empêcher d'essayer d'être le meilleur, tout en tentant bon gré mal gré d'effacer une timidité aux proportions conséquentes. Ou de faire des bêtises. Faire n'importe quoi, mais ne pas rester dans l'anonymat, ne pas avoir cette place à l'ombre, loin de soleil, dont personne ne veut. Que ce soit obtenir de bons résultats, faire le contraire de ce qu'on lui dit ou, à l'opposé, être la personne la plus obéissante du monde, il est passé par tout, jusqu'à la dernière chose possible et imaginable. Alors on peut dire que, oui, il est difficile de lui coller une étiquette précise. Un jour il sera tout de noir vêtu, et n'obéira à rien ni personne et le lendemain, revenir à un naturel plus calme. Toutefois, il ne faut pas s'y laisser prendre: la plupart du temps, il réagira comme il en a envie, point final. Il n'a pas l'impression d'être hypocrite de quelque manière que ce soit; et il ne l'est pas. Mentir n'est pas un hobby chez lui, et si le faire de temps à autre n'a, de ce qu'il en pense, jamais tué personne, il n'y passera pas sa vie non plus.

Si lorsqu'il était vraiment jeune, le jeune homme était d'une timidité maladive, il a su passer outre, au moins partiellement, et s'est découvert une nature, si certes pas disposé à être un inconditionnel meneur, somme toute peu ou prou populaire. Lorsqu'il parlait en règle générale on l'écoutait. Il plaisantait parfois, bien que plus calme qu'autre chose et, s'il n'était pas le premier à aller faire des pitreries, il suivait généralement. De temps en temps même, il devait reconnaître être l'instigateur de quelque mauvais coup, que lui-même et ses quelques complices trouvaient désopilant. Mais en lui-même, il souffrait atrocement du total manque d'attention que lui accordait sa famille, des échecs successifs qu'entrainaient ses vaines tentatives. Le monde tel qu'il était ne lui déplaisait pas, il n'avait rien de mauvais ou, plutôt, il y avait aussi du bon en lui. Aucune raison d'en vouloir au premier inconnu passant, aucune raison. Pas la peine. Cette simple phrase ferait un parfait, succinct et très juste résumé de ce qu'il en pensait. Il ne se serait à l'époque pas dit malchanceux, se trouvant assez beau et intelligent pour ne pas avoir à se plaindre de quelque manière que ce soit. Et bien qu'il se répétât cela à longueur de temps, il ne parvenait à réprimer un sentiment de tristesse coulant dans ses veines, ni à empêcher des larmes de couler le long de ses joues.

Mais ça, c'était avant. Comme je l'ai déjà dit, il a changé, et pas seulement qu'un peu. Si auparavant, il avait été jusqu'au point de vouloir s'ôter la vie après un échec amoureux, il ne s'en préoccupe maintenant plus. Il a l'impression de s'être comme endormi, et l'absence totale de sentiment dans son cœur lui est apparue comme une véritable bénédiction. Les choses mauvaises de ce monde, tout ce qui l'assaillait comme un millier de couteaux, disparus. Ce désir de partir, de quitter cette vie où il n'aurait manqué à personne, ou juste temporairement, ces impressions et ces émotions qui faisaient si mal avant de s'endormir, envolées, chassées au loin, dispersées au quatre vent comme la brume. Et c'est donc un sentiment d'irréel qui l'habite à présent. Dans ce rêve au moins, il n'avait plus mal. Plus d'amour qui blesse, perdue cette angoisse de rentrer et de sentir le regard de ses aînés passer à travers lui, les remarques cyniques des deux jumeaux. Tout cela était bel et bien terminé et, il l'espérait, pour de bon. Plus d'amis non plus, pas plus que de sourires joyeux comme autrefois. Mais qu'importait; cela ne parvenait pas à l'attrister à proprement parler. Avant, il ne pleurait jamais en public. Dorénavant, il ne pleurait juste plus du tout. La seule émotion maintenant son esprit alerte était, bien entendu, la peur. Avant déjà, le courage n'avait pas été son fort. Dès que les risques étaient trop élevés, il était tenté de faire demi-tour et de baisser les bras. Prudence excessive et goût de la sureté avaient fait de lui une personne n'osant pas ou peu, sans qu'on trouve quoi que ce soit à y redire. Après tout, cela lui avait toujours réussi.

Il est également resté très curieux de tout, trait qui a d'ailleurs été présent chez lui du plus loin qu'il se souvienne. S'il ne sait pas quelque chose, il cherchera, quitte à ne pas être certain de sa réponse. N'en avoir aucune est pour lui tout simplement inacceptable. Il y a de cela à peine trois ans, son esprit critique lui permettait encore de distinguer ce qui était bien de ce qui était mal. Cela va sans dire que ce n'est plus exactement le cas à présent. Il a juste une liste claire, nette et bien définie dans son cerveau de ce qu'on doit, ne doit pas, peut ou ne peut pas faire. Qu'on lui soit supérieur ne le dérange pas outre mesure, mais si on le rabaisse, il ne se gênera pas pour vous rendre la pareille. Au centuple, s'il juge votre attitude injustifiée. Depuis la perte de tout semblant d'émotion, il a décidé d'imiter son ancien comportement; et, dans le cas où il serait confronté à situation sans précédent, il se contentera d'imiter l'attitude de son interlocuteur. Si ce dernier sourit, alors il sourira aussi.

S'il se sent en danger, il tentera de fuir, dans la mesure ou tuer ne lui fait rien, et que cette action, il l'a d'emblée classée dans la catégorie des 'je peux le faire', sous condition. Pour se défendre, très bien. Et jamais contre quelqu'un de plus fort. Dans ses réflexions souvent, il se prend toutefois pour quelqu'un de fort, capable d'obtenir tout ce qu'il voulait, et d'être proche de la demoiselle Hider. Aussi, il peut lui arriver de perdre tout semblant de notion du temps, prendre les minutes pour des heures et les heures pour des secondes.

Autre détail, Kriss possède un esprit contradictoire en ce qui concerne sa propre personne. Il se sait intelligent, au moins dans certains domaines, et a une mémoire photographique impressionnante. De même, il sait ne pas être physiquement disgracié et, malgré cela, malgré le fait qu'il en soit pertinemment conscient, il continue de penser qu'il ne vaut strictement rien. Qu'il n'est pas important, funestes restes sans doute de ses impressions passées, à la différence près que dorénavant, il n'en ressent plus aucune peine.

Il n'en ressent plus rien du tout.

Pays (de Dahrenn, Melfia, Amy, Dail): Sal'ahë

Arme: Au niveau du combat, il est important de savoir que Kriss a beau être à demi humain, il se tournera plus vers la magie que vers les armes. Etant de constitution physique relativement faible, voir même faible tout court, il y a fort à parier qu'il ne serait pas même suffisamment fort pour soulever une épée et se battre correctement avec elle. Pour combler cette lacune, il a donc décidé de faire preuve d'un grand savoir faire et de beaucoup de technique. Il considère y être parvenu.
Le jeune homme utilise principalement deux manières de se battre; la première, la plus simple à expliquer, est la suivante:
Il utilise les atomes, les transforme. Ce n'est toutefois pas aussi simple qu'il pourrait sembler au premier coup d'oeil. Ce n'est pas transformer de la pierre en or, par exemple. Premièrement, il faut qu'il connaisse la composition exacte du dit objet; il peut, par exemple, transformer le dioxygène de l'air(O2) en dioxyde de carbone (CO2) et priver une personne d'oxygène, la condamnant à la l'asphyxie. Il peut changer n'importe quel atome, n'importe quelle molécule, en une autre. Cette première technique a cependant de nombreux inconvénients: premièrement, cela le fatigue et il ne peut l'utiliser longtemps. Or, cela lui prend du temps, justement, de l'exercer. Qui plus est, il se doit d'être en contact direct, de toucher le dit objet; sinon, il ne peut rien faire de la sorte. Ce pouvoir reste malgré tout considéablement dangereux, et il serait irresponsable de le prendre à la légère. Sachons qu'il ne peut donc faire que de menus changements sur une matière.

Cela mis à part, il utilise également un autre pouvoir. Celui-ci, pour résumer, est en rapport direct avec le vecteur force. Il ne peut être utilisé que si l'object, la chose sur laquelle il veut l'utiliser soit visible à l'oeil nu. Il est ici aussi forcé de la toucher. Pour faire simple, il peut influer sur les critères suivants:

-le point d'application de la force (l'endroit où exerce la force.)
-le sens de la force. (gauche, droite, ect...)
-la norme (la puissance du truc, quoi, si vous préférez...)

Ce n'est pas forcément très clair pour tout le monde, alors donnons un exemple simple: envoyer valdinguer quelqu'un à gauche (sens) en 'poussant' disons, sur le torse (point d'application) à un mètre trente de là où vous êtes maintenant (norme). C'est plus clair, là?
Autrement dit, cela pourrait s'apparenter à la télékinésie. Il peut renvoyer donc les objets, repousser les attaques, mais aussi, inverser le sens de circulation du sang du corps d'une personne et le tuer. Ce pouvoir souffre les même inconvénients que l'autre: il ne peut, pour celui-ci, l'utiliser que moins d'un quart d'heure, sans quoi il risque de s'évanouir, ni plus ni moins. Il n'excède jamais cette limite de temps. Il reste malgré ceci un adversaire avec de nombreuses connaissances, s'entraînant régulièrement. Sur la durée, il ne vaudra rien, et c'est là sans doute son principal point faible.

Race: Démon. Enfin, moitié humain, moitié Démon. Mais comme il pratique beaucoup de magie, il se qualifie comme un Démon.

Histoire (douze lignes minimum): On ne saurait dire que Kriss a eu une vie particulièrement mouvementée; à l'instar de millions d'autres sur cette terre, elle est constituée, ou tout du moins, l'était jusqu'à il y a trois ans de cela, de nombre de petites peines et joies qui, misent bout à bout, forment ce qu'on pourrait appeler l'histoire d'une personne. Ni tout à fait bonne ni tout à fait mauvaise. Rien ne l'était jamais vraiment, de toute façon. On dirait tout juste qu'il y a invariablement une teinte prédominante, que ce soit le rouge de l'amour ou n'importe quelle autre et, ici, il oscillerait entre le noir et le blanc, le gris sombre et gris pâle. Pour finalement peut-être basculer dans ce premier côté. Né le vingt-huit août il y a quinze ans de cela, il n'aurait su prétendre, et de dès son plus jeune âge, être la plus malheureuse au monde. En effet, du plus loin qu'il se souvienne, il n'avait guère fait partie un jour ou l'autre des classes les plus démunies de la société; celles qui ont à se démener chaque jour pour trouver ne serait-ce que le plus strict nécessaire à leur survie en elle-même. Un villageois, comme on pourrait en voir tant d'autres dans les rues, simplement en tournant la tête, à droite, à gauche, en dix exemplaires. Ni riche ni pauvre en somme, il ne se plaignait de rien, vivant sa petite enfance entouré de ses nombreux frères et sœurs, avec lesquels il ne partageait toutefois qu'une bien maigre ressemblance, que ce soit au niveau du physique ou du mental, et de ses parents. Sa mère, son père, rien de l'existence dont pourrait rêver tout un chacun mais rien lui donnant envie de la jeter au loin non plus. Et ce ne fut que lorsqu'il commença, vers l'âge de neuf ans, à fréquenter -de manière tout ce qu'il y avait de plus sporadique- les bancs en bois durs et froids de l'une des petites salles de classe de la capitale qu'il commença à se sentir mal. Entouré mais seul, en quelque sorte, le jeune homme ne tarda pas à remarquer à quel point chaque personne avait des gens desquels elle était réellement proche et, si ses parents n'avaient rien de tortionnaires, ils ne pouvaient décemment remplacer des amis, qu'il avait le plus grand mal à se faire, sans pour autant affectionner sa pseudo-solitude. Le plus souvent à vrai dire, il restait tout simplement chez lui, dans la chambre qu'il partageait avec deux de ses aînés, les jumeaux. De ceux-ci il ne fallait rien attendre; ne parlant quasi exclusivement qu'entre eux, n'adressant guère plus la parole aux autres que le minimum, dans les cas d'extrême urgence dans lesquels répondre par autre chose qu'un vague acquiescement de la tête ou autre monosyllabe s'imposait, ils n'étaient pas d'une grande aide. Ce n'était pas faute d'essayer. Mais à l'égard de leur cadet encore plus, ils semblaient imperméables à toute tentative de discussion quelle qu'elle soit. A peine plus vieux que lui en comparaison des autres, de seulement cinq ans, ce qui lui semblait plus que dérisoire et bien insuffisant pour constituer une réelle barrière, il comprit bien vite que ce n'était pas la peine. 'Pas la peine'. Une bien triste expression qui passait pourtant son temps à hanter son esprit, s'imposant comme une règle de conduite, faisant force de loi et condamnant tout projet avant même qu'il aie vu le jour. La plupart du temps, Kriss se disait juste que ce n'était pas la peine. Pas la peine de demander à ses parents d'arrêter d'être si économes et d'acheter, de temps à autre, quelque chose qui leur fasse plaisir faute d'avoir une quelque utilité. Pas la peine d'essayer d'expliquer à son frère aîné, le plus vieux, ce qu'il avait bien pu apprendre dans la journée; cela se voyait, lorsque les gens ne vous écoutaient que d'une oreille. Quant aux deux autres, dont les noms respectifs étaient Léo et Perle, c'était du pareil au même. Et il commença à penser alors que, de fait, bien qu'on lui aie dit et répété sous toutes les formes possibles et imaginables que cela n'avait strictement rien à voir là dedans, que le simple fait de n'être que le demi-frère de ces derniers avait plus que suffit pour que, d'un commun accord tacite, ils le laissent de côté, ni plus ni moins. Le jeune garçon ne savait pas grand chose de cet homme qui avait été le mari de sa mère, des années auparavant. Ils s'étaient aimés, il l'avait quittée, et l'histoire semblait, qu'importe l'angle sous lequel il le regardait, la manière d'aborder le sujet, la façon, l'art et la manière de poser les questions et de mettre les mots sur ces interrogations, s'arrêter net ici, d'une bien abrupte façon. Il ne chercha jamais réellement à en savoir plus; à chaque problème sa solution, il était vrai. Mais certains, tout simplement, n'avaient pour seul et unique dénouement qu'un triste et malheureux 'c'est impossible et ça ne changera pas pour mon joli sourire', conclusion inévitable. Un plus un n'auraient jamais été égaux à zéro, pas même si on avait passé la journée à essayer de contourner le problème. Pierre, son père, travaillait au château et par conséquent n'était pas tous es soirs rentré, et sa mère, sa belle et douce mère qu'il admirait tant, travaillait chez quelque orfèvre dont il ignorait le nom en tant que simple assistante.

Et malgré ces salaires qu'il jugeait respectables, pas question de laisser passer la moindre occasion d'économiser jusqu'à la dernière piécette. La politique de la maison était ainsi faite. Il n'était pas sans savoir que, par le passé, il y avait eu d'énormes problème liés à l'argent et avait finit par déduire que cela n'avait pas été sans rapport avec le départ du père de ses demi-frères et sœurs. Il allait donc en cours, plus depuis qu'il avait aux environs de neuf, dix ans. Et si, pour gagner l'attention de sa famille, il devait se distinguer des autres, fort bien. Il tenta, par tous les moyens, de montrer à ses parents -à ses frères et sœurs aussi, mais ces derniers n'ayant, excepté les jumeaux, Clarisse et Jordan qui avaient vaguement suivi, très vaguement, quelque cours- à quel point ils auraient raison de s'intéresser vraiment à lui. Que ce soit par des tenues vestimentaires extravagantes à l'extrême, habitude qu'il garda d'ailleurs par la suite, se prenant au jeu et ne désespérant pas de parvenir un jour à les faire le regarder autrement que s'il avait été un meuble -un très beau, très précieux meuble, mais auquel on s'était tant habitué, à vrai dire, il avait la forte et désagréable impression qu'ils étaient six enfants et tout autant de 'meubles'. Puis il tenta d'obtenir les meilleures notes possibles, en vain, à part peut-être pour les sciences physiques, où il se contentait de lire les livres, pour lesquels il s'était trouvé une véritable passion. Et de devenir le meilleur, le meilleur en tout ce qu'il pouvait; faisant face, bon gré mal gré, à la peur panique que lui inspirait la foule, grandissant au fil des mois qui passaient et le poussant à rester enfermer dans la maison plutôt qu'à sortir et contempler cette ribambelle de visages inconnus et menaçants. Il faisait de son mieux sans succès. Et ce simple fait le désespérait, chaque jour un peu plus. N'était-il jamais assez bien pour eux? Jamais? Ni ses frères ni ses sœurs, ni Abel ni Léo, ni Jordan ni Clarisse, ni même Perle. L'impression que personne ne se souciait de lui grandissait, en marge de son esprit, s'insinuait dans ses veines jusqu'à ce qu'il soit pleinement conditionné par cette idée même. A force de se démener, sa timidité initiale avait plus ou moins disparu, et il affichait en quasi permanence un grand sourire. Pas qu'il ne le pensait pas; on avait tous besoin de sourire, après tout. Et il avait assez d'argent pour vivre plus que survivre. Il n'était ni laid ni difforme, ni bête. Il était devenu des plus populaires, vraiment, parmi ceux qu'il côtoyait lorsqu'il se rendait en cours; il se trouvait plutôt chanceux, à vrai dire, dans une certaine mesure. Et cela ne l'empêchait pas de pleurer chaque soir, avant qu'on ne lui dise qu'il faisait trop de bruit, une des rares occasions en lesquelles Jordan et Clarisse, au comportement de plus en plus étrange et proches, lui adressaient la parole.

Il avait plus ou moins tout ce qu'il voulait, mais le bonheur était tel de petits grains de poussière dans un rayon de soleil: dès qu'on tendait la main vers eux, ils s'envolaient sans qu'on puisse les saisir, nous laissant tout juste observer leur bal d'une anarchie pour le moins artistique.

Pas la peine d'être parfait, pas la peine de faire des efforts. Pas la peine, pas la peine. Ce fut ce qu'il n'eut de cesse de se répéter encore et encore. Cela empira cette fameuse année, tristement célèbre, il y a de cela trois ans. La belle Melfia Hider n'avait guère encore découvert la Kara-Xanthe; Kriss tomba amoureux d'une demoiselle, vraiment. Et c'est après s'être fait rejeter par cette dernière qu'il décida que, de toute façon, si personne ne tenait à lui, alors ce n'était pas 'pas la peine'. Pas la peine de se donner la peine de plaire, de sortir alors qu'une peur insidieuse lui serrait le cœur chaque fois qu'il le faisait. Pas la peine de rester avec des parents dont il avait l'impression, n'en avaient rien à faire de lui, ou d'un frère beaucoup plus vieux et bientôt parti. Pas-la-peine. Pas la peine de vivre comme ça. Ce fut à l'exact moment où il tenait un couteau trop proche de son poignet qu'une sorte de blanc coupa sa vie en deux. Il eut l'impression de s'endormir, puis de se réveiller d'un trop long sommeil, engourdi. La peur surtout était l'une des rares constantes reliant sa vie d'avant et d'après, ainsi qu'une vague impression de rêver. Une impression d'irréel permanente, comme lorsque vous rêvez. Qu'il ne peut rien vous arriver et que rien ne vous atteint. Vous avancez, sautez du haut d'une falaise? Qu'importe, vous ne ferez que vous réveiller. Mais Kriss ne voulait pas retourner dans cette réalité à vomir qui lui avait donné envie de mourir. En un sens, Melfia Hider, la belle, la douce Melfia Hider, lui avait sauvé la vie. N'était-il pas naturel alors qu'elle lui revienne de droit légitime? Peu après cela, Kriss s'engagea comme serviteur au château. Les jumeaux, il ne les revit plus après cela. Ses parents, négligeant d'ores et déjà quelque peu leur progéniture avant cela, ne s'en occupaient plus du tout. Mais ce n'était pas comme s'il en avait quelque chose à faire. Il ne voulait pas se réveiller mais dans ce monde, il était invincible. On ne mourait pas dans un rêve. On se réveillait.

Rang (général, dirigeant, villageois...): Présentement serviteur au château, à Sal'ahë.

Code du règlement: ///

Autre: Bah... Air gear powa?XD

Expression favorite (facultatif): On doit briser les rêves des autres et s'en faire des échelles vers les étoiles. C'est comme ça.

Plat préféré: Les glaces. Ceci dit, c'est un dessert et non vraiment un plat. Mais il n'a aucune préférence particulière sur le reste. A part les bonbons, mais c'est encore moins un plat que les glaces, alors...

Plat le moins aimé: Les légumes verts. S'il doit en manger il en mangera, toutefois.

Amis: Il en avait. On ne peut plus réellement parler d'amis maintenant.

Ennemis: Il tâche de ne pas s'en faire. Les ennemis à Sal'ahë, c'est dangereux.

Famille: Kriss a son père, du nom de Pierre, quarante-cinq ans, sa mère, Marie âgée de trente-sept ans, ainsi que trois frères et deux soeurs. Le premier, de sept ans son aîné, Abel. Un autre grand frère, cette fois-ci ayant six ans de plus que lui, Léo. Une soeur de ving ans actuellement, Perle, et enfin les deux faux jumeaux de dix-neuf ans, Jordan et Clarisse. Lui-même est donc le cadet.

Couleur préférée: Le bleu, le rose, le gris et le doré.

Couleur la moins aimée: Il ne sait pas trop. Tout dépend des jours, des vêtements qu'il veut mettre, de leur connotation. Chaque jour une différente s'attire ses foudre, sans doute.

Sexualité: Hétérosexuel.

Hobby: Résoudre des équations. Et mettre la table. Il aime bien frotter les carreaux qui ont de belles couleurs et shooter les oiseaux, et s'habiller, et baver devant des portraits de Mel... Okay, j'arrête là, la liste serait trop longue.XD

Signe du zodiac: Vierge.

Sait chanter?: Il a une assez belle voix alors, gageons que oui. Comme il ne passe pas ses journées à chanter, difficile à dire.

Danse favorite: Il ne sait rien danser, et aurait du mal à en préférer une. Il ne sait même pas quelle danse s'appelle comment.

Photogénique?: Plus ou moins.

Allergies: Aucune connue à ce jour.

Religion: Il ne croit en aucun Dieu. Il élève Melfia à peu près à ce stade là et il croit en lui aussi, mais sinon, rien.

Prénom préféré: Aucun. Il apprécie assez le prénom de son frère, Jordan, mais rien de bien marqué.

Sports favoris: Il ne pratique aucun sport. Absolument aucun, et n'en a jamais pratiqué.

Aime le thé? Il n'a pas vraiment l'occasion d'en boire.

Aime le café? Seulement avec du sucre. Beaucoup de sucre et ça passe.

Animal préféré? Les mouettes.

Plus grande peur (et pourquoi.XD) : Il souffre d'une très légère agoraphobie. Dès lors qu'il y a trop de monde autour de lui, il va commencer à paniquer quelque peu, mais comme je l'ai dit, c'est très léger.

Parfums favoris? Celui du café, et du lilas.

Dépendances? (alcool, drogue, chocolat...) : ////

Mensurations:////


Dernière édition par Kriss Ryan le Dim 30 Mai - 12:56, édité 1 fois
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