... Sh*t? XD [Quiconque qui peut supporter Zen... Libre! XD] - {TERMINÉ}

Zen n’aimait pas la chaleur, au contraire.

Quand il faisait chaud, les gens transpiraient, les vêtements collaient, c’était désagréable, et en plus, il y avait toujours plein de monde dehors, donc de l’agitation, du bruit, des bousculades… Tout ce qu’il détestait bien correctement en bref. Ce n’était pas une personne très sociable, et il préférait de loin le calme et le froid à la chaleur et l’agitation, au contraire de certaines personnes. Par exemple, son meilleur ami préférait au contraire tout ce qui bougeait et adorait le soleil… Dommage pour lui qu’ils n’habitaient pas dans le coin le plus chaud de tout Oria, malgré le fait qu’Oria soit un pays très chaud. Zen adorait l’endroit où il vivait, parce que ce n’était pas vraiment très peuplé, c’était plutôt calme, et en plus le soleil ne tentait pas de lui agresser les yeux ou la peau dès qu’il sortait dehors. Non, mais c’est vrai, c’est fou ce soleil qui tape sur n’importe quelle personne qui ne fait que passer dans la rue, que ce soit un bambin ou un vieux grand père, ou encore une séduisante jeune fille… Zen ne comprenait absolument pas cet engouement que les gens avaient pour le soleil, la plage, la chaleur… Pour lui, c’était atroce. C’était juste la fin du printemps, mais il avait l’impression d’être au plein milieu de l’été là où il habitait. Oh, Dieu qu’il aimait le Nord ! Si cela ne tenait qu’à lui, il aurait bien apprécié habiter à Hatès même. Au moins, là bas, les gens ne le regarderaient pas de travers s’il disait qu’il faisait trop chaud à Oria. Oh, mais en même temps, il doutait fort que la mention de Oria soit une très bonne idée par là bas… En fait, ce devait même être une très mauvaise idée, il gardait cela en tête. Il n’irait pas à Hatès, parce qu’il ne le voulait pas vraiment-il y avait des gens à qui il tenait beaucoup- et de toute façon, cela ne lui serait pas utile, il faisait déjà assez doux dans le nord d’Oria.
Le seul problème était qu’actuellement, il n’était pas dans son magnifique coin… Il en était même bien loin. Non, actuellement, il était en plein milieu de son cauchemar : il était au beau milieu de la capitale, en début d’été, à l’heure de pointe –que ce soit pour le soleil ou pour les gens qui y trainait. Il avait chaud, il avait soif, il en avait marre, il voulait rentrer, il voulait retrouver ses terres… Mais que faisait-il là, au juste, hein ? Très simple, à l’origine. Lui et son frère étaient venu rendre visite à leur tante, oncle et petite cousine, en toute impunité. Jusque là, à part qu’il n’avait pas été ravi d’apprendre la nouvelle et que de venir à la capitale ne l’attirait pas du tout, il n’y avait pas encore eu de problème. Non, très honnêtement, les problèmes étaient arrivés lorsque sa jeune cousine décida qu’elle avait besoin d’acheter des vêtements parce qu’il recommençait à faire chaud, et qu’elle avait aussi décidé que ses deux gentils cousins devaient l’accompagnée. Il aurait bien répondu qu’il était fatigué et que le soleil lui faisait d’étranges choses sur la peau pour éviter d’y aller, mais son très généreux demi-frère avait tout de suite accepté en disant que cela leur ferait très plaisir. Et bien entendu, en voyant l’air ravi de sa cousine, il n’avait pu dire non après… Il était trop gentil, définitivement.
Bien, si il était parti avec Edwyn et Musca, pourquoi, diable, se retrouvait-il seul à errer dans les rues ? Oh, pour la simple et bonne raison qu’il s’était énervé au moment même où sa délicieuse cousine avait visiblement trouvé que sa glace irait beaucoup mieux sur la veste qu’il portait –parce qu’il en portait toujours une- et qu’il n’était pas du genre patient et compréhensif. Bien entendu qu’il s’était mis en colère ! Et Musca s’était mise à courir, alors qu’Edwyn l’avait poursuivi –parce qu’on ne laisse pas Musca seule dans les rues, elle serait trop dangereuse pour les autres autant que pour elle-même – le laissant derrière avec sa veste tachée et son énervement qui ne faisait que s’accroître. Venir ici était la plus mauvaise chose qu’il aille pu faire depuis au moins la moitié d’une année, et il pesait ses mots !

Zen avait finit pas enlever sa veste pour la donner à un garçon qui trainait dans la rue, sans regret. Ce n’était pas comme si il y tenait réellement, et elle n’avait pas coûté cher, alors ce n’était pas le problème. Le problème c’était qu’il se retrouvait en chemise, et qu’il détestait se retrouver en simple chemise devant d’autres personnes que ses amis, pour une raison qui lui échappait à lui-même. Ce n’était pas comme si il était nu, mais presque. Enfin, peu lui importait à présent, il avait tellement chaud qu’être en chemise ne le dérangeait pas du tout. Au final, il aurait presque pu se mettre torse nu. Ah, il détestait réellement la chaleur. Le jeune homme jeta un regard autour de lui et remarqua qu’il sortait vraiment du lot en réalité. Il y avait peu de gens avec des cheveux noirs, et personnes avec des cheveux aussi noirs que lui, mais aussi peu de personnes avec une peau aussi clair que la sienne. Alors voila pourquoi TOUT LE MONDE le regardait dès qu’il passait… Ah, c’était peut-être pour sa mèche de perles aussi… Ou son aura meurtrière. Ou la façon dont il marchait. Ou… Bref, il s’en fichait, l’important était que la plupart des gens le regardait. Il n’aimait pas vraiment cela non plus… Ils n’avaient jamais vu un métisse de toute leur vie ou quoi ? Bon, il l’accordait, des métisses demon-humain, il n’y en avait pas des tonnes pas là. Ici, c’était plutôt les elfes et les humains, mais ce n’était pas très important. Et puis, il se sentait plus humain. Et sincèrement, à part son teint pâle, ses cheveux noirs et son aura meurtrière, on ne pouvait pas dire que c’était un métisse…
Ah, c’était déjà trop… Dommage.

Non, honnêtement, il trouvait qu’il sortait un peu trop du lot tout de même : grand, blanc, cheveux très noirs, air noble, étrange mèche… Dans ce pays de chaleur, rien que le fait d’être blanc était quelque chose d’étonnant, de toute manière, et ce n’était pas pour autant qu’il n’aimait pas son teint, au contraire, il préférait sortir de l’ordinaire- ce qui lui était utile- plutôt que d’être ma personne la plus banale au monde que personne ne remarque tellement qu’elle se fond dans le décors… Et on peut dire que Zen avait réussi à se faire tout sauf banal. Que ce soit dans sa situation, de son physique, de ses habitudes ou de son caractère, rien ne disait qu’il était banal, mais tout- ou presque- le faisait sortir des normes que les gens s’étaient données. Il en était assez fier, d’une certaine manière, même si il n’y avait pas de quoi…
Ah, il ne devait pas se perdre, il devait retrouver Edwyn et Musca. Vite, avant qu’il ne s’énerve… Après tout, c’était Edwyn qui avait l’argent, pas lui ! Et sans argent, il ne pouvait pas boire, et ça, c’était de la véritable torture…

Il faillit heurter un elfe très pressé au passage et murmura quelque chose qui n’était pas forcément très sympathique, mais exposait son état d’esprit actuel à la perfection. Ne s’attardant pas sur cet incident, il décida qu’il serait plus simple de demander à quelqu’un s’il avait vu une petit fille blonde courir avec un garçon blond derrière elle, avec une petite description, et hop !... Oui, c’était une bonne idée. Il ne prit même pas la peine d’inspecter les gens, il se dirigea juste vers quelqu’un au hasard, se planta devant cette personne sans vraiment la regarder et commença à parler, imperturbable :

« Excusez-moi de vous déranger, mais vous n’auriez pas vu une petite fille blonde aux cheveux bouclés, d’environ 7 ans qui courrait avec un garçon blond derrière, d’environ mon âge et plus petit que moi ? »

Et avec cela, il offrit tout de même un joli sourire, parce qu’il était poli, tout de même… Et c’était bien la seule raison pour laquelle il souriait. Sa voix avait été parfaitement mesurée, mais l’énervement arrivait tout de même à en ressortir un peu, il le savait parfaitement, alors il devait faire attention à ses geste à présent, pour ne pas laisser un mauvais souvenir tout de même…

Sale journée, et elle ne faisait que débutée, il le savait…

[Allez, qui veut se taper Zen énervé? C'est un joli prix... XD]

Invité

Avoir chaud n'était pas un élément perturbateur pour Zephyr Evans.Loin,très loin de là.Enfin,sur le moment,il devait quand même recconaître que la journée,et surtout l'endroit ou il se trouvait,était particuliérement Meramera.A savoir qu'il faisait assez chaud pour qu'il se mette a brûler vif sur place.C'était quand même amusant comme perspective,non?Après tout,le fait qu'un de ces humanoïdes a coté de lui se mette soudainement a avoir les cheveux enflammés et a courir partout en hurlant qu'il était en train de bruler,daccord c'était cruel mais ca restait rigolo.Et puis,pourquoi se priver d'être cruel?Peut être que Zephyr était quelqu'un de gentil,mais il restait éduqué depuis un monde qui n'avait pas de vraies lois.Il avait grandit dans la forêt,la montagne et la jungle.La bas,le concept de cruauté est bien différent de celui présent dans cette ville.Dans la forêt,si un Singe se mettait a brûler a cause du soleil et devenait tout Meramera,alors Zephyr rigolait.Il riait,et ses compagnons étaient heureux aussi,parce que c'était drôle.Après,par "compagnon" il n'était pas tout a fait certain que les Tigres l'ayant adopté soient effectivement capables de rire.Il n'en savait rien,en fait.Mais il préférait s'imaginer que si,auquel cas ca lui permettait de se considérer comme bien moins différent de sa famille adoptive.Car au fond de lui,si a présent Zephyr se savait totalement humain de naissance,il restait tout de même profondément attaché a sa culture d'enfant fauve.C'était la principale raison pour laquelle il conservait son langage si particulier,a base de Nikiniki et de Zowazowa.Il préférait vraiment conserver une partie de ses origines.Autant dans la jungle,il avait été complexé par le fait de ne pas être un Tigre comme les autres,autant dans la ville,il trouvait qu'être différent et unique en soit,c'était un prodogieux cadeau du Destin.Enfin,le Destin n'existait pas selon lui.Pour Zephyr,ce genre de notion n'était pas seulement absurde,c'était aussi beaucoup trop compliqué.Il n'était pas un cérébral,et même si il avait un instinct quasi-animal,il restait particuliérement en dessous de la moyenne niveau intelligence humaine.Mais que voulez vous,on ne se refaisait pas,et le jeune Evans ne trouvait pas le moyen de se comporter tout a fait normalement dans la société.Toutefois,il parvenait quand même a bien se conduire quand il y'avait du monde autour de lui.Etrange,tant de monde,et pas un seul qui cherche a agresser l'autre,quand même....Le garçon sauvage trouvait ça tellement bizzare!Il y'avait plus d'une cinquantaine de personnes dans cette rue,non?Ou tout du moins,ils étaient beaucoups....Plus qu'un groupe de Pandas dans une Jungle,en fait.Et quand un groupe de Pandas rencontrait un groupe de Lions ou d'autres animaux du genre,il en resultait un affrontement bestial.Ici,rien de tout cela.Personne n'attaquait personne,et tout le monde semblait marcher le plus vite possible ou alors parler a quelqu'un comme si ce quelqu'un était un très proche ami depuis fort longtemps.Oui,Zephyr ne comprenait pas encore totalement cette mécanique de vie.Néanmoins,il était arrivé tout recemment a saisir le concept de la monnaie.Parfait,au moins maintenant,il aurait moins de chances de se faire courir après par un vieux monsieur moustachu,simplement parce qu'il avait ramassé une pomme posée là,non?Il y'en avait tellement de toutes maniéres,une de plus une de moins n'aurait pas fait de différence.Pas pour Zephyr en tout cas.Des pommes,il en avait mangé beaucoup dans sa vie sauvage,et en avait laissé encore plus sur le sol,après tout.Si ce type voulait vraiment conserver chacune d'entre elle,c'est qu'il était particuliérement gourmand,alors.Ou alors qu'il voulait se faire beaucoup beaucoup de....Argent,non?Oui,quelque chose comme ça.Beaucoup de Argent.Le Argent,c'était ces petites piéces que Liz lui montrait parfois en souriant,avant de les donner a un homme pour ensuite se tourner vers Zephyr avec des glaces a la main.Zephyr n'avait pas compris sur le moment,et s'était demandé pourquoi elle avait dut donné ces rondelles de ferraille a cet homme pour obtenir ces aliments Buruburu,mais plutôt réconfortants pendant une période Meramera.Maintenant,il comprenait.Ces rondelles de métal,le Argent,c'était avec ça qu'on échangeait les choses posées sur les tables de ces marchands.C'était bête comme procédé,mais les humains fonctionnaient ainsi de toutes maniéres.Et puis lui,du Argent,il en avait beaucoup.A ce qu'il en savait,il en avait même plus qu'il n'en fallait,et encore plus depuis que Liz et lui étaient officiellement....Fiancés?Oui,quelque chose comme ça.Enfin,depuis qu'elle était Sa Sukisuki a lui tout seul.Zephyr ne permettrait pas que l'on embrasse sa Sukisuki sans son accord.Même si elle pouvait avoir tout les amis qu'elle voulait,en même temps.Elle était si drôle,Liz...!

Sur le moment en tout cas,Zephyr venait de gaspiller a peu près tout le Argent qu'il avait emporté avec lui.Il avait pensé que c'était beaucoup sur le coup,mais le probléme étant qu'avec il n'avait put "s'acheter" qu'une petite barquette remplie d'aliments assez étranges,de formes allongés.Oh,c'était très bon,aucun doute la dessus oui.Mais bon,quand même...il aurait préféré pouvoir manger de la bonne viande,comme quand il était dans la Jungle.Crue,ou même cuite.Il avait appris a faire un feu très tôt dans sa vie sauvage,et avait découvert que la viande Meramera était bien meilleure que la viande Buruburu.Et ici,dans ce pays,ils l'avaient bien compris.Même si la viande Buruburu manquait parfois au jeune garçon,la viande Meramera était,il fallait bien l'avouer,quelque chose de succulent sur la langue.Le seul inconvénient,c'était qu'ils mangeaient avec ces ustensiles bizzares,en ferraille eux aussi.Des trucs complétement informes,qu'ils apellaient des "couverts".Avec ça,c'était vraiment dur de manger,dis donc!La premiére fois,le pauvre Zephyr avait faillit s'éborgner avec cette espéce de petit bâton pourvut de dents,là....C'était vraiment Ujauja comme sensation,oui.Manger avec ses mains était tellement plus simple....Et puis aussi,c'était plus joyeux comme ça.Tient,les petits trucs allongés,il les mangeait avec ses doigts.De toutes maniére,le marchand ne lui avait fourni aucun de ces "couverts" alors il fallait bien qu'il fasse quelque chose avec.En tout cas,ces machins là étaient vraiment délicieux,il faudrait qu'il les montre a Liz pour qu'elle lui dise comment ca s'apellait.C'était presque aussi bon qu'une bonne portion de Daim bien Meramera sur les flammes,pile sur la surface,comme ça.Oui,c'était bien meilleur comme ça,et ces petites choses valaient assez pour rivaliser avec ce qu'on pouvait qualifier du plat préféré de Zephyr.Le seul probléme,c'est que c'était chaud,et qu'il faisait déja chaud.Et il avait encore plus chaud avec ces vêtements sur le dos,mais il savait a présent qu'il aurait été complétement stupide de les retirer,simplement parce qu'il faisait trop chaud.Oh,pourtant la tentation était grande,d'enlever tout ces bouts de tissus tellements superflus,et de pouvoir grimper sur ces surfaces de pierre si lisses,pour respirer l'air en hauteur.Oui,être sur la cime d'un immeuble c'était quelque chose de très Wakiwaki pour Zephyr.Il pouvait voir de loin,s'amuser a repérer des passants plus atypiques que d'autres,sauter de cime en cime pour finalement re-atterir au sol avec la souplesse d'un félin.Que c'était grisant,comme sensation!Il aurait aimé faire découvrir ça a Liz,mais celle ci,malgré une bonne condition physique,avait décliné l'offre en riant.Il comprenait que les autres humains pouvait trouver cela bizzare,mais...C'était drôle.C'était drôle de courir dans les rues,et bien ca l'était encore plus au sommet.Il n'y avait personne,pas un seul être bipéde,sur les hauteurs,et il pouvait vraiment aller ou il le souhaitait.En plus,les rues de la capitale de ce pays,Oria si il se souvenait bien,étaient particuliérement étroites par moments,et les maisons très rapprochées.Bon,après,on le montrait parfois du doigt et on lui ordonnait de descendre,mais il adorait cela quand même,c'était vraiment drôle!Et puis il n'était pas le seul a le faire.Il avait dailleurs eu l'idée de suivre un groupe de jeunes hommes qui s'amusaient a cela le soir,alors qu'il rentrait d'un de ses cours de réeducation.Il avait beaucoup apprécié l'exercice,et depuis,s'y adonnait quand l'envie lui prenait,et quand peu de gens le regardait.Il avait quand même un minimum de tenue,n'exagérons rien.Il devait devenir quelqu'un de respectable dans la société,ne serait-ce que pour Liz.Elle l'appréciait peut être déja pour ce qu'il était,mais il savait qu'il devrait faire mieux si il voulait qu'elle ressente pour lui,ce sentiment si Gyungyun que lui ressentait pour elle.Il ferait des efforts pour cela.Des efforts comme par exemple se retenir de jeter sa barquette par terre et sauter sur des caisses empilées pas loin pour se mettre a prendre un "raccourci" vers la maison.Il ne pouvait pas voir Liz aujourdhui,elle répétait un cours de danse,il lui semblait.Autant retourner a la maison,la bas au moins,il pouvait s'amuser sans craindre d'être remarqué par la population.Et puis,il fallait aussi qu'il demande ce que c'était que cet aliment qu'il avait acheté avec le Argent.Il lui en restait un peu du Argent,quand même.Décidément,c'était une méthode bien étrange.Pourquoi ne pas échanger une piéce de viande contre une branche pour le feu?Ca aurait été plus logique,plutôt que de passer par le Argent.Enfin,il ne pouvait rien faire pour ça de toutes maniéres.Et puis du Argent,il en avait beaucoup.Alors autant en profiter.

La barquette finie,Zephyr la jetta dans un récipient prévu a cet effet.Poubelle,non?Oui,un truc du genre.Bon,et bien pour une ballade seule tout se passait plutôt bien,non?Après tout,rien de notable ne s'était produit,il n'avait pas agit comme un enfant sauvage,et a part peut être dans sa démarche un peu trop animale,personne n'aurait put se poser des questions sur lui.Oui,aucun probléme,vraiment,aucun prob...

« Excusez-moi de vous déranger, mais vous n’auriez pas vu une petite fille blonde aux cheveux bouclés, d’environ 7 ans qui courrait avec un garçon blond derrière, d’environ mon âge et plus petit que moi ? »

....Lémes.En fait,si problémes.Zut,et voila qu'un Zushizushi pointait le bout de son nez.Zephyr n'aimait pas les Zushizushi,c'était si incertain,et ca tombait sans arrêt au mauvais moment!Ca avait le mérite de le rendre assez Kishikishi quand ca arrivait comme ça.Mais bon,pour l'instant,il ne devait pas se comporter comme l'enfant sauvage qu'il était.Son vocabulaire lui,ne changerait malheureusement pas,mais il pouvait parler tout a fait normalement,et saluer cette personne normalement aussi.Bon,alors déja,ne pas lui embrasser la main,c'était avec les filles qu'il fallait faire ça....Tient?C'était une fille ou un garçon,ça?Euhhh....Le jeune homme resta un petit moment a réfléchir a la question,pour finalement décider d'adopter un autre salut,plus conventionnel.Alors,déja,oublions la tête contre la criniére comme on se saluait chez les Lions,et....hum,lever sa main droite et faire un geste de salut.Oui,une bonne idée,un bon déroulement.C'était un salut basique,qui ne s'appliquerait peut être pas dans le cas d'une interlocutrice,auquel cas il aurait dut faire un baisemain.Un interlocuteur,il aurait dut...Lui serrer la main,ou quelque chose comme ça.Bon,comme ni l'un ni l'autre ne convenaient en l'occurence,le salut sommaire était la meilleure solution.Visiblement soulagé d'avoir réussi a combler son probléme,Zephyr cligna de ses yeux dorés suite a la question du/de la nouveau-nouvelle venu(e).Une petite blonde....Environ 7 ans?7 ans chez un Tigre c'est très vieux,mais chez les humains,c'était tout jeune,un peu comme...La petite fille qu'il avait vut juste avant de jeter sa barquette,oui?Ou quelque chose comme ça....Un garçon blond,par contre,il y'en avait des centaines.Ca n'allait pas être facile.Ils étaient tous blonds,de toutes maniéres,par ici...Le soleil devait avoir un rapport avec ça,impossible autrement.Zephyr reflechit un court instant avant de répondre,d'une voix qu'il espérait assurée.

"Euh...Oui,une fille avec des cheveux....il hésita un moment,ne sachant que dire,puis finit par créer un nouveau mot de vocabulaire ...Wouwoum n'était pas loin de...La poubelle là bas.Mais garçon blond....Euh je n'ai pas fait attention,désolé."

Il eu un sourire,avant de s'éclaircir la gorge.Cette....personne semblait appartenir a une maison Noble ou riche.Dans les cas comme ça,son Oncle lui disait toujours qu'il valait mieux tenter de poursuivre la conversation,ou l'aider a trouver ce qu'il voulait.Pourquoi pas?Après tout,Liz n'était pas disponible aujourdhui,autant faire ce qu'il pouvait...

"Vous avez Maimai ces gens?Ou c'est vous qui êtes Maimai?Oh,excusez moi,je...j'ai quelques problémes pour parler."

Il fronça une nouvelle fois les sourcils,un peu mécontent de sa prestation.Mais au moins,une chose était sûre dans son esprit.

Si on lui donnait la description et l'odeur de quelqu'un,il le retrouverait très facilement.

[Bah Zen-Zeph' ca me paraît bien Ze-ifié comme discussion.XDDDD

Ca va être floklo,sinon,youhou!]

Le seul handicap majeur que Zen possédait selon lui était le fait qu’il ne sache absolument pas contrôlé sa colère, ou même n’importe quel autre sentiment fort.

Et honnêtement, c’était plutôt ennuyant, si ce ne l’était totalement. Voyez-vous, Zen était quelqu’un de raisonnablement calme la plupart du temps, cependant, il était aussi connu pour son sang chaud, et dès que quelque chose le contraignait, il s’énervait. C’était souvent étrange pour les personnes qui le voyait la première fois, le pensait calme, appliqué, poli et généreux, lorsque d’un seul coup, il devient une sorte de bête de colère et s’emporte contre quiconque l’eut mis dans cette situation. Zen détestait cet aspect de sa personnalité, et en même temps, il ne pouvait pas le manier comme cela lui plaisait ; c’était là, et impossible pour lui de s’en débarasser. Tenez, par exemple, il pourrait tout aussi discuter tranquillement avec quelqu’un et puis soudainement, cette personne ou une autre décide qu’il était amusant de se moquer de son prénom, et dans ce cas extrème, Zen s’énerve réellement très vite. C’est presque amusant de voir cette colère se peintre sur son visage paisible en quelques secondes. Et là, impossible pour vous de retourner en arrière et même si vous vous excusez, il restera certainement de mauvaise humeur pendant un moment.
Ce caractère extrême lui vient apparemment de ses origines démoniaques que Zen aurait bien préférées totalement rayé de sa vie, mais d’un autre côté, il ne voulait pas l’oublié en la mémoire de sa pauvre mère, qu’il avait beau ne pas avoir connu, il ne l’appréciait pas moins. De ce que son père lui avait dit, elle était définitivement quelqu’un d’admirable et pleine de bonté. Bon, sur la bonté, elle avait un peu raté Zen, bien que son père lui précise quelques temps auparavant qu’il ressemblait beaucoup à sa mère sous tous les plans possibles, puisqu’elle aussi avait le sang chaud et un caractère fort pour une jeune femme. Zen aimait entendre ce genre d’anecdotes sur sa mère, et ses servantes le faisaient souvent lorsqu’il était plus jeune. Ainsi, Zen se plaisait beaucoup à entendre dire qu’il ressemblait à cette sublime et forte femme qui n’avait pas hésité un seul instant à remettre une personne aussi imposante que son père en place à plusieurs reprises. Il apprit aussi que si son père était tombé amoureux d’elle, ce n’était pas seulement parce qu’elle était belle et noble, mais aussi parce qu’il n’avait jamais rencontré auparavant une femme aussi forte et belle mentalement. Et c’est pour cela que Zen était plutôt fier de ses origines, lorsqu’il n’était pas en colère, cela allait de soi.
Malheureusement, Zen était souvent en colère, comme dit précédemment, et donc il pensait souvent à se frapper la tête jusqu’à ce que tout son côté démoniaque ne s’en aille. Bien entendu, il n’était pas stupide au point de penser que cela fonctionnerait – il n’était même pas stupide du tout. Cette pensée lui rappela soudainement que quelques années auparavant, lorsqu’il était bien plus jeune et naif, il s’était vraiment frappé la tête avec l’aide de son précieux meilleur ami qui se fichait évidemment de sa tête, parce que celui-ci lui avait assuré qu’il deviendrait gentil ainsi. Gentil ? Inanimé, oui ! Bien heureusement, Zen s’était rendu compte au bout d’un moment que ce n’était qu’un mensonge, mais n’avait jamais pris sa revanche. Tient, c’était quelque chose à faire ! Il devait le noté afin de ne pas l’oublier. La première fois qu’ils se voyaient, Zen lui ferait gober quelque chose et pour sûr, cela ne ratera pas. Avec le temps, l’un était devenu plus réfléchis et l’autre un vrai crétin en fait. Zen était heureux d’être le premier. Oh, il ne fallait pas non plus sous-estimer son ami, il l’avait appris au fil du temps.

En attendant, Zen s’énervait progressivement à présent. Et il avait de quoi. Seul, dans la rue par une chaleur écrasante, à la recherche de sa cousine et de son frère alors qu’à l’origine, il n’en avait rien à faire, et si en plus il ne pouvait pas parler à des personnes normales…
Car si il y avait une chose que Zen avait remarqué à propos du jeune homme devant lui, c’était qu’il n’était définitivement pas le citoyen normal du coin. Et ça, ça lui donnait envie de se frapper la tête contre le mur le plus proche. Il devrait faire plus attention la prochaine fois qu’il chercherait quelqu’un pour l’aide, parce que celui-ci n’était pas un cadeau, à en deviner par l’air plus ou moins stupide que le garçon avait, puis l’air heureux qu’il eut en le saluant de la main. Pendant un moment, Zen fut convaincu que c’était un rêve et s’apprêtait à faire de même. Cela ne l’aurait pas surpris, après tout, ce garçon était plutôt beau, et de loin, il semblait même normal et attirant. C’était certainement pour cela que son subconscient était partit de son côté. Et maintenant, Zen avait juste envie de se poignarder, carrément. Et son plus grand désespoir fut lorsque l’autre commença à parler. A partir de là, Zen abandonna toute idée de survie.

"Euh...Oui,une fille avec des cheveux... Wouwoum n'était pas loin de...La poubelle là bas.Mais garçon blond....Euh je n'ai pas fait attention,désolé."

En plus d’abandonné les idées de survie, il abandonna l’idée même d’une conversation. ‘Wouwoum’ ? Qu’est-ce cela pouvait même signifier ? Bouclé ? La bouche de Zen s’était ouverte très légèrement d’incrédulité et ses yeux fixait tout simplement le châtain sans pouvoir le quitté, et ce n’était pas parce qu’il était devenu soudainement très attirant en parlant, loin de là. Zen se redit compte qu’il devait avoir l’air ridicule et se ressaisit rapidement alors que le garçon lui adressa un sourire. Zen pria pour qu’il n’en dise pas plus, parce qu’honnêtement, si la surprise avait pris le dessus sur la colère, si il continuait de parler, l’énervement reviendrais de plus bel. Malheureusement, son souhait fut lamentablement jeté de côté pas Dieu puisque, en toute évidence, le garçon n’avait pas ouvert la bouche pour gober les mouches.

"Vous avez Maimai ces gens?Ou c'est vous qui êtes Maimai?Oh,excusez moi,je...j'ai quelques problémes pour parler."

‘Maimai’ maintenant ? Non, c’était trop. Zen comprendrait parfaitement que quelqu’un ait des difficultés pour parler aussi bien qu’un noble, ou même qu’il ne trouve pas ses mots, mais de là à en inventer qui ne ressemblaient même pas à des vrais mots, Zen ne considérait plus cela comme une difficulté, mais un grave handicap, ou alors ce n’était qu’un enfant de 3 ans, et de ce qu’il voyait, il doutait grandement que ce jeune homme n’ai que 3 ans, aussi jeune soit-il.
Peut-être en avait-il l’âge mental, après, Zen n’en savait rien. En attendant, il n’avait aucune idée de se taper la discussion avec un garçon qui parlait plus mal que Musca alors qu’il était plus grand qu’elle alors qu’il l’avait perdue. Il passerait son tout aujourd’hui, il n’était vraiment pas d’humeur.

Il fit un effort colossal pour ravaler sa fureur et souffla fort en fermant les yeux un instant. Qui il les rouvrit, il adressa au garçon un sourire et dit, d’une voix qui se voulait plutôt polie et calme.

« Et bien, merci de vos… Renseignements. Je trouverais de moi-même, ne vous en faites pas. Sur ce, désolé de vous avoir ennuyé… »

Zen n’attendit pas un instant de plus avant de se reculer gracieusement et tourner le dos au garçon, reprenant sa marche. Musca ne devait pas être loin alors, et Edwyn de même. Il jeta un dernier regard au garçon, les sourcils froncés.
Il y avait définitivement d’étranges personnes en ville…

[Hs: Youhou~. J'en ai mis du temps XD.
Bon écoute, je n'avais pas vraiment beaucoup d'option, parce que Zen n'est pas du genre patient à se taper la discute en plein milieu de la rue surtout si il est énervé ET pressé... Donc voila~. Courage? XD]

Invité

Il était évident aux yeux de Zephyr que la personne qui venait de l’interpeller avait vraisemblablement un problème. Il cherchait quelqu’un selon toute logique. Il avait souvent entendu dire qu’il était facile de se perdre dans une grande ville comme cette capitale. Zephyr ne trouvait pas en quoi cela était facile. Enfin, il aurait peut être dût reformuler. Il ne trouvait pas ça ‘difficile de se perdre’ puisque de ce qu’il savait, cela aurait voulu dire qu’il aurait eu des difficultés à se perdre. Non, se perdre c’était souvent facile surtout si on le voulait. Mais pour le coup, il avouait qu’il retrouvait son chemin bien plus facilement en ville que lorsqu’il vivait encore dans la forêt. Pourquoi ? Eh bien tout simplement parce que tout ces immeubles et toutes ces rues étaient extrêmement différentes de tout ce qu’il avait toujours connu à savoir : la végétation et la nature qui l’entourent. Même pour quelqu’un qui avait vécu depuis presque toute sa vie dans un environnement aussi sauvage, les arbres et les plantes étaient toutes très similaires. Les repères existaient, mais ils n’étaient pas légion, et dans sa jeune enfance Zephyr se perdait souvent alors qu’il parcourait la jungle. Mais maintenant qu’il se trouvait en ville, le garçon sauvage devait avouer que l’endroit l’envahissait de repères divers et variés. Il paraît que les rues et les maisons avaient des noms, et que c’était avec cela que les gens se repéraient la plupart du temps. Il ne savait pas si c’était vrai, mais en tout cas lui n’utilisait pas cette méthode là. C’était idiot, surtout qu’il avait vu quelques noms de ces fameuses rues et la même réflexion qu’avec les villes lui était venue : Pourquoi ? Pourquoi est ce que toutes ces choses avaient des noms aussi bizarres ? C’était pas pareil dans la jungle. Son endroit préféré avait un nom totalement adapté avec son statut, puisqu’il le nommait « l’arbre confortable ». Facile à retenir, et surtout facile à identifier. Il se trouvait pile entre « la rivière avec les galets blancs » et « l’arbre avec la griffure de Panda ». Facile, non ? Le jeune garçon trouvait ça tellement plus simple que tous ces noms qui ne voulaient rien dire. C’était pareil avec les pays en plus. Là, il était à Oria, c’est bien ça ? Pourquoi Oria ? Parce que Or- il y’a ? Ou parce que le soleil et le sable étaient de la couleur de l’or ? Ca n’aurait pas été plus simple d’appeler le pays ‘l’endroit chaud’ ? Ou même ‘Le pays chaud’ tout simplement… Le pays le plus chaud, quelque chose comme ça. Même si Oria, ce n’était pas si dur que ça à retenir au final. Pas comme celui du bas, là où il y’avait la pluie, là… Comment il s’appelait déjà ? Sale… Sale la haie il lui semblait. C’était Liz qui lui avait montré ce moyen pour se souvenir du nom du pays. Sale la haie. Comme si il devait mettre du sel sur la haie. Ah, qu’est ce qu’elle pouvait être intelligente, Liz parfois. Zephyr se demandait souvent comment il ferait si elle n’était pas là. Mais la réponse n’était pas bien difficile au fond : il ferait comme il l’avait fait jusqu’alors. Comme un garçon ayant vécu dans la jungle.

« Et bien, merci de vos… Renseignements. Je trouverais de moi-même, ne vous en faites pas. Sur ce, désolé de vous avoir ennuyé… »

Zephyr redescendit sur terre en regardant devant lui avec ses deux yeux dorés pour voir le jeune garçon –où était ce une fille d’ailleurs ? Il en avait vaguement l’air…- partir un peu plus loin à une vitesse assez impressionnante pour quelqu’un qui marche. Le jeune homme aux cheveux châtains n’eu guère vraiment le temps de tergiverser au sujet du renseignement qu’il avait pu donner à son interlocuteur, puisque celui-ci venait clairement de repartir dans une direction opposée. Oh… ? Est-ce qu’il avait été déçu que le jeune garçon lui propose son aide ? Peut être que tout cela n’était qu’une petite plaisanterie et que Zephyr n’avait pas réagit comme il le fallait ? En tout cas, il était certain que le… Garçon ou la fille avec des cheveux presque bleus s’en allait un peu plus loin maintenant. Zephyr le regarda s’en aller, sans trop savoir comment réagir. Devait-il le poursuivre pour l’aider encore plus ? Quoi qu’il n’avait pas très bien compris ce qu’il lui avait répondu au final. Qu’avait-il dit déjà ? Le jeune garçon sauvage n’était guère doué pour retenir les conversations. Et ce, même si ces dernières ne dataient que de… Eh bien quelque secondes en fait. Pour dire la vérité, Zephyr ne se souvenait que du fait que le … la personne l’ai remercié et était parti en s’excusant. Le tout d’une manière qui était sans doute possible ennuyée. Zephyr n’était peut être pas quelqu’un de très parlant comme garçon, et les dialogues lui semblaient souvent abstraits mais ses sens sauvages lui permettaient au moins de déduire facilement l’humeur d’une personne. Juste parce qu’il le ressentait, il aurait bien été incapable de dire comment il faisait. Sans doute parce que les émotions des humains sont bien plus faciles à ressentir et à deviner que les émotions des animaux. Zephyr savait que la personne était agacée, voire qu’elle était énervée. Alors que faire dans ce genre de situations ? Est-ce que le poursuivre était vraiment la chose à faire ? Réfléchir n’avait jamais été le point fort de Zephyr. Loin s’en faut, le garçon préférait de loin l’action à la réflexion. Il préférait ressentir à repenser. C’est pourquoi il rouvrit les yeux, ayant prit finalement décidé de laisser libre court à son instinct. Il suffirait de voir où était la personne à qui il parlait il y’a quelques instants et…

…

Eh bien voilà, il l’avait perdu de vue maintenant. Zephyr resta là un moment, à regarder autour de lui, ce qui était idiot vu que la personne était partie en face de lui, elle ne pouvait donc que se trouver quelques mètres plus loin. Seulement voilà, elle avait bel et bien disparue de son champ de vision. A présent, trouver cette personne serait comme trouver une aiguille dans une botte de foin. Et pour être tout à fait honnête, Zephyr n’avait fichtrement aucune envie de se piquer si jamais il venait à trouver l’aiguille. Il détestait les piqûres, pas pour rien qu’il évitait soigneusement tout les insectes lorsqu’il habitait encore dans la forêt. Aiguille disparue… Et le garçon sauvage perdu maintenant. Zephyr fit une légère moue. Il ne voulait pas de son aide de toutes façons, si ?

Haussant ses épaules nerveuses, expression dont il se demanda si elle existait véritablement, Zephyr se mit en route pour retourner dans sa maison. Finalement, sortir n’était pas une si bonne idée. On ne s’amusait pas autant que dans la jungle dans cette ville.

[C’est moi qui te dois des excuses, à avorter le sujet comme ça.v__v’

Désolé.]

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