Lidwine Auura bourgeoise
Messages : 179 Inscrit depuis le : 06/04/2009 Age : 32 Localisation : Dans sa chambre.
Feuille de personnage Nom/prénom: Auura Lidwine. Arme: Ses dents. fonction: Bourgeoise.
| Sujet: AUURA Lidwine ▬ « Tell them it's me who made you sad » Lun 6 Avr - 3:35 | |
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"I'm not a bad girl ; you're just a prude"
| Identité ; veuillez signez au bas de la page ▬ nom : Hugo Auura. ▬ prénom : Lidwine, Elliane, Ashleigh. ▬ âge : 17 ans. { 01/11/1305 } ▬ race : Démone. ▬ pays : Hatès. ▬ emploi : Bourgeoise. ▬ lieu de résidence : Elle habite à Imura et possède une résidence secondaire à Syma'la. ▬ arme : Lidwine possède un trident, au long manche et aux tri-lames acérées. C'est une arme de très bonne facture, que sa mère lui a fait faire pour acheter la paix sociale, en quelque sorte, il y a un an de cela : elle ne la manie cela dit que pour elle-même, et ne le prendrait face à quelqu'un que de façon dissuasive. ▬ aime : [18+] ▬ déteste : L'AMOUR. ▬ amis : Evelyn, sa meilleur ami depuis qu'elle est toute petite. Aiden aussi, quelque part. Quelques autres bourgeoises résidant à la capitale et qu'elle apprécie plus ou moins, étant obligée de leur parler puisque leurs mères sont amies. Et d'autres personnes, plutôt des garçons (plus âgés qu'elle pour la plupart) avec qui elle sort le soir, de temps à autre, quand elle réussit à s'éclipser. Sans se faire voir, ça va de soi. ▬ ennemis : Des bourgeoises qu'elle n'aime pas, des villageoises aisées qu'elle n'aime pas, des personnes qu'elle a croisées et qu'elle n'aime pas. Son père, parce que ce n'est qu'un sale bâtard qui les a abandonnés. La fiancée d'Aiden aussi, parce que ce n'est qu'une cruche sans personnalité. Et puis tout un tas de personnes, on ne peut pas se faire apprécier de tout le monde. ▬ famille : Lidwine vit aujourd'hui encore avec sa mère, Caroll, 35 ans, qui est bourgeoise et gère son commerce seule, depuis le départ de son mari. Son père, donc, Dayle, 37 ans, s'est évanoui dans la nature il y a quatorze ans de cela. Soit peu après la naissance de Lilian, 14 ans, son petit frère. Cela étant ce dernier ne vit plus au domicile familial depuis deux ans, date à laquelle il a blessé sa sœur à l'œil. Lidwine ne sait pas où sa mère l'a envoyé, et ne l'a pas revue depuis. Pour ce qui est de tantes ou d'oncles, elle en a quelques uns du côté de son père mais n'en a que très peu entendu parler. Du côté de sa mère, elle n'en a pas. Mlle Lidwine Auura |
Compléments ; fouillez les dossiers ▬ sexualité : Bisexuelle, sans préférence particulière. Elle a été avec des hommes et des femmes, peut éprouver des sentiments pour l'un ou l'autre sans différence et est autant attiré par les deux sexes. Cela dit, elle a plus tendance à s'attacher au femmes qu'aux hommes sur un plan sentimental. ▬ passe-temps : Draguer ses serviteurs/servantes pour mettre sa mère hors d'elle. (Et ça marche) ▬ signe du zodiaque : Scorpion. ▬ religion : Croyante, pas fervente pratiquante non plus. Elle aime tout de même à croire en Dieu ▬ expression favorite : "[18+]" ▬ photogénique : Pas tellement. Sur le peu de photographies qu'elle a d'elle, soit elle ferme les yeux, soit elle fait une tête bizarre. Elle ne sait pas pourquoi... ▬ allergies : Aux relations stables. A part ça, non. ▬ plat préféré : Le steak. Avec plein de sauce. ▬ plat le moins aimé : Les glaces. C'est bien joli, mais quand il fait toujours froid, au bout d'un moment... ▬ couleur préférée : Le violet. ▬ couleur la moins aimée : Le bleu. ▬ sait chanter : Sans trop de fausses notes, mais sans plus. ▬ danse favorite : La valse, sûrement. ▬ prénoms préférés : Audeline et Flavien. ▬ sports préférés : La gymnastique et exercices de souplesse. ▬ aime le thé : Non, pas du tout. ▬ aime le café : Oui, mais sans plus. ▬ animal préféré : Les gros chiens. ▬ parfum favori : Le parfum de la nourriture qui cuit. ▬ plus grandes peurs : Tomber enceinte. Maintenant, plus tard... Peu importe, elle ne veut pas tomber enceinte. Elle a peur que son ventre se décroche, qu'elle s'ouvre en deux, que le bébé 'tombe', que l'accouchement se passe mal... ▬ dépendances : Aucune. Même si elle semble avoir une franche dépendance aux problèmes, qu'elle recherche activement. ▬ mensurations : Elles sont en libre consultation. ▬ autres : Semi-trainée pour vous servir.
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Description physique
« Pas assez jolie » ; voilà le malheur de sa vie. Lidwine n'a ni les jambes immenses, ni les yeux de biche, ni le visage pour qui l'on se damnerait, ni les formes que tout le monde envie. Elle n'a rien, rien de tout cela. Son physique n'est que banalité, jolies coïncidences et choix judicieux. A côté de ces femmes superbes qui n'ont besoin que d'une pointe de maquillage pour souligner leur beauté, la demoiselle sait qu'elle fait bien pâle figure. Il lui faut s'arranger, faire attention, tout choisir au mieux. C'est un travail constant que d'être belle ; et elle, elle veut l'être. Son mètre soixante-sept, elle ne s'en plaint pas. Elle se serait bien vue un peu plus petite ou plus grande, histoire de sortir de la moyenne, mais elle s'en est au final si bien accommodée qu'elle n'y pense plus. Sa silhouette n'est ni élancée ni rondouillarde : mince serait l'adjectif le plus approprié. Ni larges épaules ni trop de hanches, une poitrine juste dans la norme, un tour de taille qu'elle s'évertue à garder fin... Chez elle, les courbes se laissent facilement oublier. Elle en a assez pour être féminine, oui. Suffisamment pour ne pas être la source de moqueries à ce sujet, certainement. Mais dans ce 'ni trop ni pas assez' où beaucoup se retrouvent, la jeune fille elle se perd : être normale, comme tout le monde, banale, c'est une insulte en bonne et due forme. Voilà pourquoi elle peste régulièrement contre sa poitrine trop petite, ses cuisses trop étroites et même parfois ses doigts trop courts. Dans les mauvais jours, l'intégralité de son reflet est sujet à critique. Oh, mais n'allez pas croire qu'elle se trouve laide : elle se trouve juste trop facile à oublier. Son corps lui conviendrait très bien si elle n'aimait pas tant qu'on la regarde. Elle aime plaire et séduire, après tout. Pour ça, son visage n'est pas trop mal. La peau presque blanche caractéristique des Démons et du froid, les lèvres joliment dessinées, les dents – Dieu merci – bien alignées, le nez petit et mignon... Oui, elle aime assez son visage. Elle l'adorait, même. Mais depuis que de ses deux grands yeux parme l'on n'en voit plus qu'un, elle est presque gênée qu'on le regarde avec trop d’insistance. Les cache-œil, aussi divers que ses tenues, ne quittent jamais son œil droit. Elle ne l'enlève que pour dormir, quand elle est seule, et refuse que quiconque la voit sans. Dessous, une coupure nette et cicatrisée – et un œil, pâle, presque complètement aveugle. Quand l'occasion se présente ou qu'elle ne veut pas de regards curieux dans sa direction, elle demande à ce qu'on la coiffe de façon à cacher son œil et le pansement qui le couvre. C'est en partie pour cela qu'elle a laissé pousser ses cheveux violets, si bien qu'à présent ils s'arrêtent peu après ses omoplates. Les coiffures varient avec les vêtements, bien qu'elle rechigne à laisser quiconque les nouer de façon trop complexes : idem pour les trop nombreux ornements, qu'elle trouve lourd et souvent inesthétique. Comme on ne l'y oblige pas, il est rare qu'elle change d'avis sur ce point. Le point le plus important à ses yeux, après une coiffure et un maquillage réussies, sont les tenues. Diverses et variées, dans de nombreuses coupes et autant de coloris, elle en a suffisamment pour en changer plusieurs fois chaque jour de la semaine. En hiver elle ne jure que par robes longues et vestes ; en été, elle porte presque exclusivement des jupe et des chemisiers. Sa préférence va bien sûr au mauve et au violet, mais aussi au noir, blanc, kaki ou encore beige. Elle porte peu de rose et de bleu, mais il est tout de même possible de la voir revêtir ces couleurs. Ses chaussures sont principalement des bottes à talons, mais pour les soirées et autres occasions elle possède également quelques paires de souliers bas – toujours à talon, cela va de soit. Elle parfait toujours ses tenues par des petits détails et bijoux en tout genre, du chapeau aux gants en passant par les colliers. Lidwine fait toujours très attention à son apparence, et ça se voit ; on ne plaît pas en ressemblant à un sac, aux dernières nouvelles. Et si pour les invités de sa mère elle peut prendre l'apparence d'une jeune fille tout à fait charmante, son attitude suffit à lui donner une toute autre allure dès qu'elle file en douce. Parce que si la demoiselle a rarement l'air vulgaire, faire connaître ses intentions est sa spécialité.
Description mentale
Lidwine est mauvaise. Vite énervée, fière, extravertie, sûre d'elle, bruyante, violente ; un mélange explosif qui pourrait difficilement aboutir à un caractère agréable. Loin d'être facile à vivre, la jeune fille est une vraie boule de nerfs et de critiques. Rien ne va jamais comme elle le souhaiterait, tout le monde l'ennuie, on ne lui accorde jamais rien... A l'entendre, sa vie est un enfer dont elle est prisonnière – et tente par tous les moyens de s'enfuir. Sauf que mademoiselle est riche, bien lotie, avec une mère adorable et des amis conciliants et que jamais, oh grand jamais quiconque n'irait la plaindre. Pas sur ces points, du moins ; et ça, ça l'insupporte. Personne ne la comprend. En éternelle insatisfaite, elle prend à cœur de tout reprocher à tout le monde. Quand bien même elle aimerait complimenter ou enlacer sa mère, elle en est tout bonnement incapable. Extravertie, oui, mais pas immunisée contre la gêne. En l'occurrence, Lidwine est à la foi fière, bornée et impulsive : le résultat est qu'après s'être énervée sans raison, s'en être rendu compte et avoir voulu s'excuser, elle sera incapable d'admettre ses torts et de demander pardon. Cette incapacité à revenir en arrière pour remettre les choses en ordre se mue généralement en colère, en frustration – et le cercle vicieux recommence. Une fois qu'elle a dit quelque chose, jamais elle ne reviendra sur sa décision. Parce qu'elle ne se trompe jamais, que personne ne lui prouvera le contraire et que quand bien même ce serait le cas, elle n'écouterait pas. Quitte à se boucher les oreilles ou faire preuve de mauvaise foi, tant pis : sa fierté ne le permettrait pas. Lidwine, c'est aussi quelqu'un qui ne fait pas les choses à moitié. Quand elle a une idée en tête, elle est plus bornée que la plus têtue des mules. S'avouer vaincue, voilà encore quelque chose dont elle est incapable. Si elle n'y arrive pas, elle recommence. Et si vraiment elle ne parvient pas à réussir, alors elle fera en sorte de prouver à toutes et à tous que ça n'en valait de toute façon pas la peine. Tenter de la raisonner est à peu près aussi efficace que parler à un sourd ; elle n'écoute qu'elle-même, et ce même si parfois elle le regrette. Elle peut tout faire toute seule, n'a besoin de l'aide de personne et se fiche de l'avis des autres. Alors quand, parfois, elle aimerait avoir quelqu'un pour la ratrapper en bas quand elle grimpe trop haut et ne sait plus comment descendre, jamais elle ne l'avouera. Parce que Lidwine est fière, Lidwine est solitaire. Lidwine n'a besoin de personne. Surtout pas d'un homme. Parce que si elle sait se montrer peste et insupportable envers des personnes qu'elle n'apprécie pas, c'est en amour qu'elle est la plus cruelle. Elle aime faire du mal, tromper, blesser, donner de faux espoirs... Pour elle, les inconnus importent peu – et ils sont légions. Jouer avec le cœur des autres n'est rien de plus qu'un passe-temps pour elle. Jouer les filles esseulées, les demoiselles amourachées, les adolescentes au cœur brisé, tout est bon pour parvenir à ses fins. Les seules fois où, fatiguée ou juste désabusée, elle n'a pas envie de jouer la comédie, c'est uniquement pour s'abandonner l'espace d'une nuit dans les bras de n'importe qui. Tant que le garçon est beau ou la fille jolie, le reste lui importe peu ; les sentiments n'ont pas leur place dans ses jeux de séduction. Blessée, oui, on peut dire qu'elle l'est. Peut-être qu'elle ne s'en rend pas compte, trop fière et attachée à son image de femme forte, mais elle respire l'insécurité. Elle n'a pas l'air fragile mais perdue, quand elle lance sur un ton assuré qu'elle est elle-même et se fiche du reste. Si mal assurée sur ses talons quand on lui pose des questions sur sa vie privée. A plaquer son oreiller sur son visage parce que sa mère l'insupporte pour, la minute suivante, se sentir cruellement coupable de l'avoir rendue triste. Lidwine, finalement, lutte un peu maladroitement contre elle-même. Par moments elle voudrait être plus gentille, plus compréhensive, plus amicale. Et puis, d'autres fois, la seule idée d'un sourire mielleux et hypocrite la révulse. C'est un électron libre, emplie d'amertume et de colère contre tout et tout le monde. Une fille un peu pathétique qui s'amuse et profite du malheur des autres pour oublier ses propres problèmes. On vit comme on peut.
Histoire
- Spoiler:
Lidwine est née un soir d'Automne à Syma'la, dans le Royaume d'Hatès. En fait elle y naîtra, y grandira jusqu'à ses quatorze ans, mais passera toute sa vie d'adolescente dans la capitale du royaume, Imura. Ses parents étaient tout deux des démons, nés de conditions moyenne. Ils n'étaient pas extrèmement riches, mais disons qu'ils étaient loin d'être dans la misère tout de même. C'est dans ce cadre ressemblant à s'y méprendre au cadre d'une famille totalement banale que la petite Lidwine grandit, doucement mais sûrement, apprenant petit à petit à se construire patiement. Elle n'avait rien de particulier, passait ses journées de petite fille à s'amuser naïvement avec sa mère, laissant son père travailler toute la semaine durant. Pour être claire, elle ne le voyait que très rarement ; ce qui explique donc le large sourire qui apparaissait sur son visage à chaque fois qu'il revenait pour passer un peu de temps avec sa famille. La mère de la petite démone était quelqu'un de très gentille, mais pas de particulièrement belle. Elle l'était peut-être terriblement interieurement, mais pas spécialement exterieurement ; elle ne jouissait pas de ce petit plus qu'avaient certaines femmes, de ce petit truc idiot qui les rendaient bien plus belles et bien plus désirables. Son père en revanche, était un homme séduisant, jeune encore et plein de vie. Mais bien entendu, la demoiselle ne fit le raprochement cynique entre l'apparence de ses parents et le fait que son père finit par ne plus revenir que bien plus tard, et dans le secret de son ésprit. Enfin, avant de ne les laisser, il leur laissa en cadeau un petit frère pour cette chère et gentille petite Lidwine. Un petit frère de trois ans son cadet, qui avait tout déjà d'un parfait mélange entre ses deux parents. Enfin, il avait hérité du caractère assez spécial de son père, ce que la petite fille ne tarda pas de remarquer. Bien entendu, à son âge, elle se moquait bien de ce genre de chose. Elle, elle commençait à s'amuser avec le magnifique trident accroché au-dessus de la cheminée de leur jolie maison, prenant pour cible des ennemis imaginaires qui semblaient d'ailleurs beaucoup souffrir. La jeune fille le faisait en fait seulement lorsqu'elle était seule, puisque sa mère n'appréciait pas particulièrement qu'elle flanque tout ses vases par terre et qu'elle éventre ses fauteuils, et que malheureusement pour elle son jeune frère semblait doué d'un don inné pour la délation. Son oeil droit, il fut éstropié lorsqu'elle eut quinze ans. Elle avait après quelques années d'entrainement clandestins appris à manier avec une dextérité certaine sa drôle d'arme, et sa mère la laissait "jouer avec" comme bon lui semblait. Ce qui semblait paraître profondément injuste aux yeux de son cadet aux fins yeux rouges en amande, qui lui n'avait pas le droit de toucher à quoi que ce soit dans ce genre là. Il lançait régulièrement de magnifiques phrases qui disaient plus ou moins qu'à douze ans, elle elle avait déjà l'autorisation de se battre. Et en plus elle était une femme, alors que lui était un homme, ce qui à ses yeux ne faisait qu'approfondir l'injustice que lui seul voyait. Alors qu'ils se battaient pour la énième fois à ce sujet, le petit garçon empoigna un couteau, et entailla l'oeil de la jeune fille. Suite à cet incident, la jeune fille ne revit plus jamais son frère. Sa mère l'avait envoyé "se calmer" Dieu seul savait où, sans vouloir donner plus de précisions à la bléssée. Suite à cela et grâce surtout à la bonne situaton de sa mère, elle eut la chance d'être soignée avant que l'inféction ne prenne trop d'ampleur. Son oeil gauche n'est pas aveugle, mais elle ne voit pas grand chose avec, et a toujours jugé inutile depuis de se promener avec un oeil éstropié et flanqué d'une douloureuse cicatrice. Enfin, l'aversion profonde de l'archetype du Prince Charmant de la jeune fille vient d'une terrible décéption amoureuse, datant de l'année de ses quinze ans. Elle avait en effet rencontré un jeune homme prénommé Aiden, duquel elle était tombé terriblement amoureuse. La jeune fille n'avait pourtant rien de quelqu'un de facilement arnaquable, et tout sauf naïve ; seulement avec lui, c'était comme si aucun de ses deux yeux ne lui servait. Elle l'aimait, purement et simplement, et aurait tout donné sur le moment pour que cet amour dure éternellement. Malheureusement pour elle, tout les hommes autour d'elle semblaient s'amuser à aller voir ailleurs. Ce fut exactement ce qui se passa pour son jeune amant, qui eut la bonne idée d'aller flirter avec une autre fille alors qu'il était avec elle en même temps. Beaucoup de jeunes filles de son âge en passaient par là, mais cette histoire lui a laissé un gout amer pour les relations stables et soit disant basées sur la confiance et le respect mutuel. Résultat c'est plus souvent elle qui endosse le rôle du mari infidèle ou de l'amant du mari infidèle, à présent...
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Dernière édition par Lidwine Auura le Dim 18 Déc - 20:13, édité 3 fois |
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