KAYLEE Allyriane ▬ « Just another reason looking for the next 'because' »

Décrire le physique d'Allyriane, c'est tout d'abord rechercher le mot qui la qualifierait à lui seul le mieux. Et, peu importe le point de vue, c'est le mot 'commune' qui éffleure avant tout autre quand on à la loisir de la détailler. En effet, la demoiselle a une allure générale on ne peut plus commune, rien de particulier ne vous donnerait envie de le regarder plus attentivement si elle passait près de vous dans la rue. Non, pas de 'trop' ou de 'pas assez', rien que du 'dans la norme'. Même un oeil aguérri ne pourrait, en la regardant de pied en cap des heures durant, dire ce qui ne va pas chez cette jeune fille rien qu'à son physique. On pourrait se demander si elle n'est pas tout simplement quelqu'un comme les autres, quelqu'un de simplement très fermé, qui ne s'exprimerait pas beaucoup par les mouvements et les expréssions faciales. Sa normalité est comme un bouclier empéchant tout à chacun de se dire qu'elle ne l'est pas, justement. Ce n'est que quand on sait qu'elle est une Antarr et qu'elle est assignée à résidence au Royaume de Sal'ahë que cet aspect commun prend une autre dimension.
Son allure générale, tout d'abord. Allyriane est une jeune fille relativement petite, qui a récemment atteint le mètre cinquante cinq. On peut se dire sans risquer de se tromper qu'elle a encore le temps de prendre quelques bons centimètres, mais elle ne dépassera jamais le mètre soixante, ça c'est une certitude. Un petit mètre cinquante-cinq donc, et malgré tout des membres qui paraissent longs, fins et fuselés. Même si elle n'est pas haute, elle ne donne pas cette impression d'être tellement petite ou 'courte sur patte'. On a simplement l'impression qu'on aurait miniaturisé quelqu'un de vingt bons centimètres de plus. Ses bras sont longs et fins, ses coudes pointus et impardonnables ; car malgré sa finesse, ses os n'en restent pas moins très solides et ne se cassent que très difficilement. Les bras cassés, les poignets foulés ou les chevilles tordues, ce n'est pas pour elle. Elle n'a d'ailleurs jusqe là et en quinze ans d'existence assez mouvementés jamais eu à se plaindre d'accidents de ce genre. Elle tombe, elle se fait frapper et frappe, donne de violents coups dans des surfaces dures, mais n'en garde que des bleus et des hématomes. C'est en partie grâce à cette plus que pratique résistance qu'elle peut se permettre de se battre à main nue sans risquer de se blésser de manière grave. Ali' mesure donc moins d'un mètre soixante, et est aussi toute mince : jamais plus de quarante-cinq kilos, et elle tourne même plutôt autour des quarantes tout court. Ce poid plume est du à son ossature, au peu de chair qui les recouvre, et principalement à sa musculature également. Parce que la demoiselle, bien qu'elle n'en ai pas l'air, peu aussi être très forte. Ceci est sans doute plus du à son changement de comportement depuis "l'arrivée" de la Kara Xanthe que sa constitution ancienne. En fait, la demoiselle n'a jamais été tellement douée pour se battre, ou même pour donner des coups violents à des personnes même plus faibles qu'elle ; maintenant en revanche, elle y arrive plus que bien, et même sur des opposants bien plus imposants qu'elle. Elle a des abdominos en fer forgé, et est à la fois d'une souplesse intéréssante, qui elle lui est naturelle : c'était bien pratique de pouvoir se glisser partout, quand elle en avait assez qu'on se moque d'elle.
Le visage d'Allyriane n'est pas plus marquant que son physique en général. De forme plutôt fine, il n'a rien de particulier à noter. Son grain de peau n'est pas spécialement pâle, pas tellement bronzé non plus. Son menton n'est pas beaucoup marqué, ni imposant, ni trop en avant ; il se fond dans son visage, tout simplement. Sa bouche est plutôt petite, pas vraiment pulpeuse. Son nez est fin, discret, et trouve naturellement sa place bien au milieu, entre ses deux yeux. Ses yeux, justement. C'est bien là la seule chose qu'on pourrait snas doute trouver dérangeant, quelque part, chez elle. Non pas parce qu'ils sont un peu trop grands, ni à cause de leur banale couleure brunne ; non, à cause de leur vide, de leur rien. Depuis que la Kara Xanthe a 'irradié' son pays, c'est à peu près tout ce qui transite dans ses deux orbes oscillants entre le foncé et le clair. Rien. Ils sont vides, complètement vides, et ce n'ets que rarement qu'une lueur énervée, heureuse, amusée ou quoi que ce soit d'autre les illumine. Alors oui, cela peut-être génant. Mais non, on ne le remarque pas forcément au premier coup d'oeils. Ses deux iris bruns sont enfoncés délicatement sous uen paire de sourcils parfaitement accordés à la couleur châtain de sa chevelure mi-longue. Ces derniers, quelques peu désordonnés, sont un peu plus clairs que les yeux que la frange cache régulièrement, et se perdent devant son visage. Sa chevelure s'arrète de manière disparate dans son nuque ou sur ses épaules pour les mèches les plus longues. Sa coiffure n'a donc rien de franchement défini, c'est plutôt un joyeux mélange de mèches courtes et de mèches longues, d'où sa frange coupé un peu trop bas. Elle ne les attache jamais, agrémentant simplement de temps à autre leur couleur châtain de barrêtes étranges ou de pinces accordées aux couleurs de ses vêtements.
Sa tenue véstimentaire, maintenant. Tout d'abord et de manière consensuelle, la demoiselle déteste profondément les pentalons. JAMAIS, ô grand jamais vous ne la verrez en pentalon, en short, en pentacourt ; bref, jamais avec quoi que ce soit de ce type là. Elle aime se sentir libre de se smouvements, et les jupes et robes ont cet avantage de ne pas la sérrer et de la laisser faire à peu près ce qu'elle veut sans avoir de contraintes materielles de ce coté là. De la même manière et pour les même raison, elle n'aime pas les pulls informes ou au contraire les hauts trop sérrés. Elle opte donc le plus souvent pour des robes s'arrétant soit au-dessus de ses genoux, soit peu en-dessous, qui ne sont ni trop lâches, ni trop encombrantes, ni trop sérrées. Quand elle ne bouge pas de chez elle, Allyriane garde l'uniforme de son ancien établissement scolaire. Quand elle sort en revanche, elle se change inmanquablement, et revêtit une tenue passe partout et tape-à-l'oeil à la fois ; Une tenue quelque peu extravagantes ne se verra pas si les couleurs sont ternes, et une tenue plus carrée gagnera en éclat si les couleures sont plus vives. En mélangeant les deux, on obtient quelque chose qu'on ne regarde même pas, qui nous parâit...

Allyriane était quelqu'un, maintenant elle est morte. Peut-on considérer que ce qu'elle est devenue mérite encore le nom d'être humain, c'est là toute la question. L'Allyriane d'avant et l'Allyriane qui grandit à présent n'ont à voir ensemble que leur allure générale : la lueur qui avant illuminait ses grands yeux timides a définitivemen disparue il y a de cela précisément trois ans. En un jour, en quelques secondes, sa vie a radicalement changé, et à tout jamais. Comme un mal irréversible qui se serait emparé de son corps et de son esprit, et lui aurait ôté toute forme de gentillesse ou de générosité.
Alors, étudions tout d'abord le caractère initial de la demoiselle, pour noter les changements opérés. Avant que la Kara Xanthe ne soit ramassé par la douce Melfia, Allyriane était une jeune fille on ne peut plus banale. Le genre de personne qui existe en dix exemplaire dans un même village, le genre de personne qu'on ne voit même pas. Invisible : Voilà ce qu'était la demoiselle avant. Personne ne la voyait, elle était gentille et discrète à la fois, et ce mélange n'avait pour conséquence que de l'éffacer de la communauté en générale. Plutôt renfermée, ave cun cadre d'amies bien définies, enfoncée dans la routine et les habitudes. La brune n'avait rien de quelqu'un aimant les défis, aimant la violence ou ce genre de choses : tout ce qu'elle voulait c'était vivre sa vie tranquillement, dans l'indifférence la plus complète. Ce qu'elle est à présent, ça n'a strictement rien à voir. Cette jeune fille là, elle est morte et entérrée, plus de six pieds sous terre sous le monceau d'horreur qu'elle a entassé par dessus.
Allyriane Kaylee, aux yeux du monde actuel, c'est une Antarr. Un terme bien générale en vérité, puisque tout à chacun dans le royaume de Sal'ahë a été touché de manière différente. Une des meilleures amie de la demoiselle a vu ses yeux devenirs entièrement blancs, et une autre a tué toute sa famille avant qu'ils n'aient même eu le temps de constater leur changement, avant de n'accrocher aux murs leurs cadavres mutilés-sans oublier leur chat. Elle, jamais elle n'est devenue si violente au point de ne se sentir obligée de tuer tout le monde. Ali' s'est tout simplement plus encore renfermée sur elle-même, ne parlant plus à qui que ce soit des jours, des semaines, parfois des mois durant. Ses seuls loisirs étaient de rester assise devant sa fenêtre, les yeux dans le vague, l'esprit perdu entre deux mondes. Oui, c'est à peu près ça : la pierre l'a envoyée entre deux mondes, entre lesquelles elle oscille constamment. Un coup elle est là, à torturer gentiment des insèctes, et l'instant d'après elle semble plongée dans un profond coma, les iris perdus dans la contemplation de quelque chose qu'elle seule voit, laissant la petite bête s'échapper d'entre ses fines mains. Elle ment, puis dit la vérité, puis ment de nouveau, sans discernement aucun. Elle penche sa tête sur le coté, la remet droite, vous fait un sourire vide et sans aucun sens puis vous gifle la seconde d'après. Elle semble toujours en train de chercher quelque chose, regardant à droite, regardant à gauche, posant son regard ensuite sur vous sans vraiment vous regarder pour autant. C'est comme si son regard vous traversait, comme si à ses yeux votre existence n'avait aucune forme d'intérêt et que du coup elle pouvait voir à travers votre corps comme s'il était aussi transparant qu'une vitre. La demoiselle ne parle pas beaucoup, et c'est aussi à se demander si elle vous écoute ; d'un seul coup pendant que vous lui parlez, elle peut très bien tourner les talons et aller cueillir une fleur, qu'elle va s'amuser à déchiqueter avant de ne reposer son regard sur vous. Si la jeune fille est très peu locace, quand elle parle, elle parle : ses paroles sont loins d'être dénuées de sens, et si elle vous adresse la parole mieux vaut écouter, car elle déteste se répéter.
Allyriane est aussi quelqu'un de profondément cruelle, comme beaucoup de ceux de sa 'race' : seulement à défaut d'être normale, elle a au moins une raison qu'elle juge valable pour torturer des jours durant des chats ou même des humains. Elle veut ressentir. Elle agit comme si elle était constamment en manque de quelque chose, comme si elle recherchait les sensations, qu'elle voulait être en colère, qu'elle voulait être triste ou joyeuse. Elle tue des gens, dans l'espoir de ressentir autre choses que ces bribes de sensation qui parfois lui arrachent des frissons. La brune veut souffrir et faire souffrir, et est toujours à la recherche de sensations, de sentiments nouveau. Elle veut de l'adrénaline, du sang, n'importe quoi mais elle a besoin de tout en excès, quit à en faire une overdose. Aimer en revanche ne fait pas parti de son vocabulaire : si déjà avant elle n'était pas très portée sur l'amour en général, depuis qu'elle est Antarr ce trait de son caractère n'a fait que s'accentuer un peu plus, jusqu'à donner le résultat que l'on sait. Qu'on parle d'attirance physique ou morale, ça n'y change strictement rien : ça ne l'intéresse pas le moins du monde. Elle déteste perdre, et considérant l'amour comme stupide et intuile. Lorsqu'elle s'ennuye-ou plutôt qu'elle en a marre de fixer le vide en chantonnant-la jeune Kaylee va souvent à la chasse à la Kara Xanthe. Pourquoi? Qu'est-ce qu'elle en sait, au fond? Elle n'agit pas avec des raisons bien définies, la plupart du temps c'est 'j'ai envie de faire ça, donc...', et rien d'autre. Elle ne juge pas avoir à se justifier devant qui que ce soit, et se montre le plus souvent désbligeante quand elle parle, surtout lorsque l'autre en face d'elle n'est pas un Antarr. Peut-être que dans son éstime, ces derniers ont la chance de gagner quelques places par rapport au commun des mortels-qu'elle méprise en revanche profondément. De toute façon elle évite la plupart du temps les confrontation, de par sa peur maladive de se retrouver coincée dans un bain de foule.  Elle n'a de respect et dévouement véritable que pour sa reine, Melfia Hider, et c'est bien tout.
Autre chose à savoir sur Allyriane : elle est complètement maniaque. Il n'y a bien que ses cheveux qui aient le droit d'être en désordre, car toute sa vie dans les moindres détails doit être organisée, en dehors de ça. Elle se couche à telle heure, met tels vêtements si elle sort, tels vêtements si elle reste à l'interieur, met telle barrête s'il fait beau, telle autre s'il va pleuvoir...Si la jeune fille voit quoi que ce soit à une place où il ne devrait pas être, ça l'énerve profondément. Tout doit être droit, carré, bien rangé, niquel chrome. Tout est propre, transparant, à la place où elle aura décidé qu'il soit. Elle décide qu'il soit là, il sera là.
Quand on sait qu'elle utilise le même mode de pensée pour les êtres humains, ça donne à réfléchir...

Allyriane est née un 12 Juillet, dans la belle capitale de Kyrannar, alors encore relativement calme en comparaison à la population qu'elle regroupe à présent. Née de deux parents humains, la jeune fille fut aimée et adorée dès les premières années de sa vie, comme toute petite fille normale naissant dans un cadre de vie sain, de l'amour mutuel de deux adultes consentants s'aimant et s'étant fait serment de fidélité et d'amour jusqu'à la fin. Dès sa plus petite enfance, on pouvait remarquer que la petite Allyriane n'était pas une petite fille très expréssive, ni tellement extravertie. Elle n'était en fait pas du genre à se rouler par terre en public quand elle n'avait pas ce qu'elle voulait, mais plutôt du style à ne rien demander du tout, et à aller timidement se cacher derrière sa mère en agrippant sa jupe dans ses petites mains dès qu'un inconnu lui souriait. En grandissant, doucement, ce traît de son caractère s'est accentué, jusqu'à ce que ses parents ne conscèdent à dire que leur fille était définitivement timide et reservée-ce à quoi ils s'habituèrent bien vite, à la vérité. Serviable et gentille, la demoiselle grandit entourée de l'amour toujours présent et ausis fort de ses parents, d'un petit frère d'un an son cadet-Mikaël-et d'une soeur de quatre ans son ainée-Ariette. La plus vieille était assez énergique, trouvant toujours le mot pour faire rire ou pour dérider sa cadette, qu'elle adorait au plus haut point. Le plus jeune lui semblait aussi peu enclin à la conversation que la plus jeune de ses soeurs, et trouvait très amusant quant-à-lui de simplement rester à discuter avec cette dernière, avec qui il ne tarda pas à développer un lien asez fort.
Voilà pour la peinture hautement intéréssante de la vie de la jeune Allyriane. Si elle était réservée et timide, elle n'en demeurait pas une élève brillante, et grâces aux économies de ses parents elle put à l'âge de dix ans intégrer une école assez intéréssante, fréquentée par quelques villageois, comme elle, mais surtout par les basses-classes bourgeoises. Et cette 'expérience de vie', elle s'en serait bien passée. Très vite, à cause de son allure banale, gentille et renfermée, elle fut la cible de moqueries. Au début ce fut de simples boutades, des remarques et des insultes sans fondements, mais ça ne tarda pas à prendre de l'amplitude, jusqu'à en devenir insupportable. Les annés entre ses dix et ses onze ans, la jeune fille dut passer par toutes les couleures de l'Arc-en-ciel. Un coup elle prenait cinq kilos en moins d'un mois, puis le mois d'après elle en perdait le double, elle laissait pousser ses cheveux jusqu'à ce qu'ils tombent au creu de ses reins, et du jour au lendemain elle les coupait elle-même, sans prévenir personne. Cette situation dura jusqu'à la fin de ses onze ans, où elle finit par changer d'établissement et en intégra un plus cher, mais aussi plus sain. Elle se fit des amis-deux, principalement-prénomées Jessy et Aline, humaine et démone, qu'elle ne quitta plus depuis. Elle s'ouvrit un peu plus, laissant tomber les longues après-midi seules au profit de moments à rire avec ses nouvelles amies. Sa soeur ainée, alors agée de quinze ans, elle ne lui parlait plus tellement. Si la différence d'âge les avait rapprochées lorsqu'Allyriane était toute jeune, à présent qu'elle était en phase de passer dans l'adolescence, cela les avait considérablement éloignées l'une de l'autre. Les occupations de la soeur ainée ne l'intéréssait pas, et Ariette était trop vieille pour vouloir jouer aux jeux de sa cadette. Si ce fut le temps qui éloigna les deux soeurs, ce fut la soudaine socialisation de la jeune fille qui l'éloigna de son frère, toujours aussi taciturne, aussi péssimiste et renfermé. Et ça, sans doute qu'il ne lui pardonna pas. Parce que, petit à petit, il refusa de lui parler, allant même jusqu'à volontairement lui faire des croche-pied en haut des éscaliers ou ce genre d'idioties profondes pour lui faire comprendre qu'elle l'avait lâchement abandonné. Très honnêtement la brune s'en inquiétait peu, se rangeant de l'avis de ses parents qui méttaient ça très judicieusement sur la crise d'adolescence préococe. Mais le fait est que ça ne s'arrangea pas, et qu'il refusa bientôt de lui parler complètement.
Elle comptait aller éclaircir la situation, lorsque le pays de Sal'ahë fut irrémédiablement irradié, alors qu'elle allait sur ses treize ans. Dès lors sa vie changea du tout au tout, et jamais elle n'eut plus l'occasion d'aller même s'excuser auprès de son cadet. Pourquoi? Elle n'en voyait pas l'utilité, tout simplement. Elle ne voyait plus l'utilité de rien, se sentait complètement perdue dans un océan d'elle ne savait trop quoi. Comme si d'un seul coup on lui avait prit toute l'eau qui remplissait sa piscine, et qu'elle marchait au fond, cherchait vainement ce qui pouvait être là avant. Elle ne revit plus jamais son frère, et supposa qu'il avait du partir Dieu seul savait où pour aller torturer des petites bestioles-enfin, elle elle se trouvait soudain une passion pour ça, alors elle imaginait que lui devait faire pareil. Si ses parents et sa soeur ainée étaient toujours là, elle ne leur parlait pas pour autant. C'était plus comme s'ils étaient des étrangers regroupés sous le même toît pour des questions pratiques que des personnes partageant le même sang et les même gènes.